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 Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir

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MessageSujet: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeMer 4 Juin - 2:57

Les origines d'aigle noir partie 1

Dans un monde hostile où vivaient jadis des animaux cruels et dénués de tout sens moral, jamais la vie n’aurait pu se développer si il n’y avait eu une intervention divine disent les scientifiques.

Seulement voilà, l’intervention divine telle que nous l’imaginons tous plus ou moins, n’a jamais eu lieu.

En effet, ce Dieu que tout le monde vénère à tort ou à raison n’a pas agi pour le salut de la future espèce humaine.

Ce fut un étrange faisceau lumineux qui arrangea l’avenir incertain de l’espèce dont nous faisons partie aujourd’hui.

Cette aide n’était pas gratuite, loin de là.

Mais laissons pour le moment l’explication de cette lumière bizarre et transportons-nous en dehors de notre prison temporelle, traversons les siècles qui nous séparent de cette époque préhistorique, pour nous occuper de ce qui se passe de nos jours, ou plutôt de ce qui va se passer en ce mois de novembre 2004.

Charleville-Mézières, une petite ville située dans le département des Ardennes, charmante et accueillante, mais où la criminalité empirait de jour en jour.

Quotidiennement, dans les journaux, des dizaines d’articles recensaient les faits de la nuit passée.

Il fallait que cela cesse, mais que faire quand même les forces de police sont impuissantes ?

Personne ne semblait pouvoir endiguer le crime si présent en cette période.

Pourtant, la vie de tous les jours se déroulait toujours de la même façon, pour un habitant de cette même ville : Julien Pirolle.

En fait, rien ne le séparait des autres habitants, sauf qu’il était incapable de se défendre face aux agressions extérieures de la vie.

Pour prendre un exemple concret, il me faut vous conter comment notre ami Julien s’est arrangé (bien involontairement, cela va sans dire) pour transformer une banale sortie en discothèque, en une mésaventure quelque peu hors du commun :

Hormis le fait de sortir comme les autres jeunes de son âge (il a vingt-deux ans) Julien ne danse pas en "boîte", non ! Il reste assis et écoute la musique. Sauf pour les slows, lorsqu'il se trouve une cavalière, ce qui n'arrive (entre nous) pas souvent, pour ainsi dire jamais.

Bref, après une sortie qui n’avait rien apporté de nouveau dans son désert affectif, il décida qu’il était temps de rentré chez lui.
Il sortit de la discothèque après s’être fait bousculer comme dans un shaker et se dirigea vers la mobylette qu’un copain lui avait prêtée.

Justement, en parlant de cet engin, depuis qu’il l’avait en sa possession, cela faisait au moins la troisième fois qu’il la réparait, mais des petites réparations seulement, comme des roues crevées ou les freins détendus, car comble de l’ironie, Julien n’est pas bricoleur du tout.

Et ce soir, c’est le moteur qui ne voulait plus démarrer : un serrage pensa t’il sans toutefois être sûr de ce qu’il avançait.

Il prit donc une grave décision : marcher à pied en traînant son véhicule près de lui.

Seulement voilà, Julien pèse une centaine de kilos pour un mètre soixante dix, et autant dire qu’il n’est pas habitué à fournir un tel effort.

En outre, les éléments furent aussi contre lui, car une demi-heure après son départ, un fantastique orage éclata, tant et si bien que lorsqu’il arriva devant chez lui, trois heures plus tard, il était trempé jusqu’aux os.

Mais il n’était pas au bout de ses peines, il lui fallait encore monter les six étages qui le séparaient de son appartement.

L’ascenseur ne fonctionnant pas (comme d’habitude) il du se résigner à prendre l’escalier.

Arrivé enfin chez lui, il s’aperçut qu’il avait perdu ses clés.

Heureusement, comme il était maintenant huit heures du matin, le gardien pourrait sûrement l’aider.

C’était sans compter que celui-ci était parti en week-end.

Décontenancé, et ne savant plus quoi faire, Julien repris la route avec son véhicule de malheur, pour finalement atterrir chez ce fameux copain qui le lui avait prêté.

« Merci mon vieux pour ta bécane ! Cette saloperie n’a pas fini de tomber en rade !
- Attends, il est huit heures et demie, et tu débarques comme ça à l’improviste pour me rendre une « mob » en panne ? Tu tiens réellement à ta misérable vie ? Dit-il en riant.
- Oh ! Tu sais maintenant !
- Tu as l’air blasé dis donc !
- Rends toi compte que j’ai trouvé le moyen de perdre les clés de chez moi !
- Alors c’était toi !
- Quoi moi ?
- J’ai trouvé un trousseau devant mon garage hier soir.
- Tu me sauve la vie Laurent !
- Question d’habitude. Je t’offre un verre ?
- Non-merci ! Je suis crevé et je crois que je vais rentrer dormir. Salut mon vieux.
- Bonne nuit Don Juan. »

Notre ami se retrouva dehors, et prit la direction de chez lui.
Enfin du repos pensa t’il en s’allongeant, il se remémora sa folle mésaventure et s’endormit du sommeil du juste.
Cependant depuis un endroit encore inconnu de tous, notre ami était épié. À son insu, tel un cobaye il passait toutes sortes de tests.

« Président Zopos ! Cela fait une semaine que nous observons cet humain, et personnellement je ne comprends pas ce que vous lui trouvez !
- Vous n’êtes pas là pour comprendre que je sache, moi non plus d’ailleurs ce sont les ordres de Graal.
- Le Grand Président lui-même ?
- En personne ! Est-ce que vous comprenez maintenant Sergent ?
- Toujours pas, mais une chose est certaine ! J’obéis sans discuter.
- C’est tout à votre intérêt mon jeune ami. Mais je peux vous dire que ce soir, nous serons fixés ! »

Pendant ce temps, son téléphone venait juste de réveiller Julien :
« Allô ?
- Allô Julien ?
- Oui !
- Salut c’est Gwendoline, je ne te dérange pas ?
- Non non, pas du tout !
- Impeccable ! Je peux passer te voir ?
- Oui, quand tu veux !
- En fait, je suis dans la cabine en face de chez toi, j’arrive dans cinq minutes !
- Cinq minutes ? Okay je t’attends » répondit-il résigné.

Il raccrocha le combiné téléphonique et fit rapidement le ménage autour de lui

Lorsque Gwendoline arriva devant sa porte, notre ami était prêt à l’accueillir :
« Mais dis-moi, s’écria t’elle en le voyant, tu n’as pas dormi de la nuit ou quoi ?
- En fait, j’ai dormi trois heures au plus.
- Bon je te laisse dans ce cas, repose-toi !
- Non, non ! Inutile, maintenant que je suis debout, j’y reste, je dormirais mieux cette nuit.
- Tu es sûr ?
- Mais oui voyons ! Tu veux boire quelque chose ? Un café, un coca ?….
- Un coca merci ! Figure-toi que je viens de sortir de chez Christophe.
- Et comment va notre abruti de service ?
- Pas mal ! Tu ne l’apprécie toujours pas je vois.
- Tout le monde n’est quand même pas censé ramper devant lui !
- Que tu es méchant !
- Pas méchant Gwen !… Réaliste ! Nuance !
- Remarque, tu n’as pas tout à fait tort…
- C’est pas vrai, t’es de mon côté maintenant ?
- Disons que j’ai certaines raisons de penser comme toi.
- Explique-toi.
- Ce n’est pas intéressant.
- Moi ça m’intéresse !
- Si tu y tiens… Depuis hier, il n’arrête pas de m’épier, (elle se dirigea vers la fenêtre, et entrouvrit le rideau) et d’ailleurs, il est en bas de chez toi.
- Tu plaisantes ?
- Regarde toi-même !
- Mince alors, et qu’est-ce qu’il te veut cet ostrogoth ?
- Il est amoureux je crois.
- Rien que ça !
- Depuis que j’ai rompu, il est persuadé que je suis avec un autre.
- Et c’est le cas ?
- Ne sois pas idiot voyons ! Si seulement il n’était pas aussi volage, violent bref tout quoi !…
La sonnerie de l’interphone interrompit Gwendoline.
- Oui ? Répondit Julien.
- C’est Christophe ! Je sais que Gwen est chez toi ! Je monte ! Ouvre la porte !
- Je ne crois pas que ce soit nécessaire.
- Laisse moi monter ou je t’assure que tu le regretteras.
- Très bien monte si tu insistes.
- Pourquoi l’as tu laissé venir ici ?
- Il était assez mécontent, si tu vois ce que je veux dire…
- Oh ! C’est pas vrai, explosa t’elle. Tu es trois fois plus fort que ce ringard et tu en as peur ?
Dites-moi que je rêve ! »
La blondeur de ses cheveux se coordonnait parfaitement au bleu de ses yeux, surtout lorsqu’elle était en colère pensa Julien, mais que pouvais t’il faire d’autre ?
Depuis qu’il avait été embauché au Lycée Verlaine, Gwen lui plaisait, seulement il n’a jamais osé lui avouer. En plus, sortir avec une étudiante, n’était pas très bien vu par la profession. Quand à son histoire avec Christophe, autant ne pas y penser !
Certes il ne l’aimait pas, mais il n’allait quand même pas se battre avec ce type juste parce que Gwen lui demandait puis son mètre quatre-vingt l’avantage vachement, malgré ce qu’elle peut dire, il ne voyait pas comment empêcher ce mec de faire ce qu’il voulait.
Christophe entra sans frapper, et toisa notre ami :

- Barre-toi de mon chemin gros tas il faut que je lui parle.
- Elle ne souhaite pas te parler et…
- Laisse interrompit la jeune femme, maintenant qu’il est là, je vais voir ce qu’il veut !

Ils se mirent à l’écart pour discuter pendant que Julien allumait la télé.

Dix minutes passèrent quand Julien entendit que le ton montait, et reconnut le son d’une gifle.
Il se leva alors, poussé par une colère noire, et au moment où Christophe sortait justement de la cuisine en proférant des insultes grossières, il lui envoya un formidable coup de poing et le jeta dehors. Il alla immédiatement vers son amie et la consola.

- Quel connard ! Tu souffres beaucoup ?
- Ca va !
- Mais attends, tu saignes !
- Ce n’est rien, je vais te laisser, je t’ai assez embêté pour aujourd’hui.
- Cesse de dire des bêtises, je ne vais pas te laisser partir seule comme ça, et surtout après ce qui viens de se passer.

Il soigna sa lèvre inférieure et passa le reste de la journée avec elle.
Le soir, il la raccompagna chez elle et reprit le chemin en sens inverse pour rentrer chez lui.
Il était pratiquement arrivé lorsqu’il s’aperçut que Christophe l’attendait patiemment en bas de son immeuble.

- T’as vu ce que tu m’as fait gros lard ?
- Écoute, je n’ai pas réfléchi, tu l’as frappée et j’ai vu rouge.
- C’est pas une excuse, tu vas te mettre à genoux et demander pardon ou j’éclate ta sale gueule.
- Je pourrai te faire la même chose que ce midi.
- Tu m’as eu par surprise minable ! Je vais t’éclater la tête.
- Tu radotes mon vieux, le grand âge sûrement répondit Julien en essayant de cacher sa peur.
- Ta réputation n’est plus à faire, tout le monde sait que tu es un trouillard né !
- Si tu veux te venger pour ce midi, fais le maintenant, sinon débarrasse moi le plancher.
- Oh maman ! J’ai la trouille !
- Tu ferais bien en effet dit une grosse voix.
- T’est qui toi connard ? Dit Christophe en se retournant.
L’homme se mit à la lumière et Christophe reconnut son père.
- Que disais-tu déjà ? Connard est le mot que tu as employé pour me parler n’est-ce pas ?
- Papa, je…
- Silence ! Rentre à la maison immédiatement misérable parasite ! Et sans discuter !
- Oui P’pa. Répondit Christophe en tournant les talons. »

Julien voulut remercier son sauveur, mais ce dernier avait disparu comme par magie.
Il rentra donc chez lui, s’enferma à double tour et s’apprêta à passer une soirée agréable devant la télévision.

Cependant, du côté de ses « espions », un immense écran de dix mètres de largeur s’illumina et l’image de notre ami y apparut comme au cinéma.

« Président Zopos ! Votre présence est requise en salle du Grand Conseil !
- J’arrive Ordinateur Central. Informez-en le Grand Président.


Un instant plus tard :

« Alors, Zopos ? Cette étude ? Où en est-elle ?
- Elle avance Graal, mais …
- Qu’est-ce qui vous dérange ?
- Pourquoi les terriens ? Ils sont si primitifs …
- Justement Zopos ! Imaginez un peu l’effet que notre aide pourra donner à cette jeune planète.
- Encore faudrait-il qu’il accepte.
- Il acceptera, je l’ai choisi ne l’oubliez pas.
- Je ne risque pas Graal, je vous l’assure. »


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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeMer 4 Juin - 3:02

Les origines d'AIgle Noir partie 2 :

Le programme de sa soirée n’étant pas très motivant, Julien décida de retourner dans cette discothèque ou il avait déjà été la veille

Là encore, il y passa une soirée morose qui ne l’enchanta pas plus que la veille.

A l’aube, il prit le chemin du retour avec la mobylette de Laurent, et croisa le chemin de deux types louches qui l’agressèrent en vue de le lui dérober.

A cet instant, un rayon aveuglant l’enveloppa, et il disparut avec son véhicule à la stupeur de ses agresseurs.

Il s’éveilla quelques heures plus tard, dans une pièce obscure qui lui paraissait immense, et où on ne distinguait que des voyants lumineux clignotants.
Il se frotta les yeux et se pinça la main pour vérifier qu’il ne rêvait pas.

C’est alors qu’une voix le fit tressaillir de peur :

« Bienvenue mon ami, j’espère que tu as bien dormi !
- Où suis-je ? Répondit-il à la voix.
- Patience ! Tu le sauras bientôt !
- J’ai peur, qu’est-ce que vous me voulez ?
- Ne crains rien, je suis ton ami !
- Comment pouvez-vous prétendre être un ami alors que vous vous cachez ? »

Une silhouette se dessina alors dans l’ombre et la voix reprit :
« Lumière ! »

A cet instant, une lumière aveuglante envahie la pièce et notre ami, ébloui, ne put pendant plusieurs secondes identifier son interlocuteur.

Ce dernier avait l’allure d’un vieillard, et mesurait un bon mètre quatre-vingt-dix, se qui lui sembla étrange, car les personnes âgées qu’il avait l’habitude de voir, n’étaient pas si grandes.

« Je m’appelle Graal, reprit le vieil individu, et je suis à ta disposition pour répondre à toutes tes questions.
- Où suis-je ? Demanda t’il.
- Tu te trouves actuellement à approximativement 15 années-lumière de la Terre.
- Je suppose que vous plaisantez ?
- Pas du tout ! Tu auras l’occasion de t’en rendre compte par toi-même tout à l’heure.
- Mais bien sûr ! Et je dois vous croire ? C’est absurde cette histoire !
- Je t’assure que tu seras bientôt un autre homme si tu suis mes conseils.
- Bon sang ! C’est pas possible ce truc ! Je rêve ou je deviens dingue !
- Non tu ne rêves pas, et tes capacités intellectuelles, aussi limitées soit-elles sont intactes !
- Qu’est-ce que vous me voulez ?
- Tu as été choisi.
- Et pourquoi faire ? Incarner le Gargantua de votre planète ou peut-être servir de repas à vos pauvres familles qui n’ont pas pu embarquer avec vous ?
- Veux - tu cesser ces délires paranoïaques ?
- Mettez - vous à ma place, vous m’apprenez que j’ai affaire à des extra-terrestres et je ne devrais poser aucune question, vous trouvez ça naturel vous ?
- Finalement, tu as raison ! Je crois que nous nous sommes trompés ! Tu ne corresponds pas désolé ! Adieu !
- Attendez ! Vous m’enlevez et au bout de trois minutes, vous me dites que je ne corresponds pas et vous partez ? Je ne corresponds pas à quoi au juste ?
- A la chose la plus fantastique qu’un humain n’est osé rêvé !
- Si vous arrêtiez tous ces mystères ?
- Je vais t’expliquer Julien !
- Vous connaissez mon nom ?
- Et tant de choses encore ! Nous vous connaissons depuis l’aube de ce que vous appelez la « Création »
- Vous alors, on peut dire que vous êtes patient !
- Mais avant tout, il me faut savoir : Aider les gens, tu aimes ?
- Tout dépend de l’aide que je peux apporter, je ne suis pas très costaud et…
- Tu ne réponds pas à ma question, aimes-tu oui ou non aider les gens qui sont autour de toi ?
- Évidemment, si quelqu’un a besoin de moi…
- C’est lui messieurs !
- Gloire à toi Élu ! Dirent alors des voix venues de nulle part.
- Ces voix, qui est-ce ?
- L’équipage de mon vaisseau mon ami et ils nous observent depuis ton arrivée.
- Ils m’ont appelé « Élu » ?
- En effet ! Tu es l’élu de ta planète et tu es le seul dans toute l’immensité de l’univers à avoir ce privilège.
- Ecoutez, vous me parlez en chinois car je ne comprends absolument pas ce que vous me voulez exactement.
- Je vais t’expliquer, suis-moi ! »

Julien suivit le vieillard dans une sorte de navette qui avançait sur un coussin d’air en suivant un rail invisible, et tout ça à une vitesse fulgurante.

Tous les murs étaient tapissés d’ordinateurs et de voyants lumineux.

En tout cas se dit Julien, si c’est une blague, ils sont fortiches.

Mais il changea d’avis lorsqu’il se retrouva dans la partie avant de ce qui semblait être un vaisseau et qu’il vit la Terre comme les astronautes la voient de l’espace.

Il comprit alors qu’il ne rêvait pas et se douta que son aventure ne faisait que commencer.

Graal le sortit de ses pensées : « Comme je te l’ai dit nous observons le développement de ton monde, et ce depuis la sixième dimension coexistant avec l’écran coaxial de la Constellation d’Orion tu connais je suppose ?
- En effet, c’est une Constellation de la zone équatoriale dont plusieurs de ses étoiles sont visibles à l’œil nu depuis la Terre.
- Je suis époustouflé par ta culture, j’en étais où déjà,….Ah oui, et donc derrière cette Constellation, se trouve ma planète, Elara, qui n’apparaît bien sûr sur aucune de vos cartes.
- J’ai du mal à vous croire.
- Sans importance pour le moment, tu es quand même forcé de constater que l’homme s’autodétruit et qu’il détruit son environnement.
- Jusque là, entièrement d’accord.
- C’est dans la nature humaine, et nul n’y peut rien.
- Alors que viens-je faire là-dedans moi ?
- Tu vas rétablir l’équilibre de la balance.
- Ca y est ! J’ai encore perdu le fil !
- Je vais être plus direct !
- Enfin !
- Tu es d’accord sur le fait que ton monde est en danger permanent, comme qui dirait au bord du gouffre ?
- Oui, mais il l’a toujours été et un seul homme ne résoudra rien.
- Seul, il n’y arrivera pas en effet, mais avec un peu d’aide…
- Il pourrait sauver le monde ! ! !
- Hum ! Là tu vas un peu vite ! Tu va sauver les innocents qui périssent chaque jour à cause des criminels qui sévissent chez toi. »
A la surprise générale, Julien éclata d’un rire tonitruant, tomba à genoux et ri de plus belle.
« Qu’est-ce qui te prends ? Sauver le monde est-il à ce point distrayant pour toi ?
- Arrêtez vous êtes trop drôle !
- Explique toi ! Pourquoi ris-tu de façon si insolente ?
- Excusez-moi AH AH AH, mais comment voulez-vous que je sauve le monde, avec mon physique de sumo ! En plus, j’ai peur de tout et de rien et je crois en effet que je ne corresponds pas exactement à ce que vous recherchez. Mais c’était une bonne blague quand même dit–il en tournant les talons prêt à prendre la première direction qui s’offrirai à lui pour rentrer.
- En effet, il va te falloir changer, et nous allons t’y aider en modifiant quelques paramètres de ta personne…
- Ca veut dire que je vais maigrir ?
- En partit oui répondit Graal amusé, mais nous allons également augmenter tes capacités physiques et intellectuelles.
- Et vous faîtes ça comment ?
- Nous en avons les moyens….
- Je ne vous crois pas vous délirez !
- Mais c’est très sérieux ! Tu es exactement celui que nous recherchons, nous t’observons depuis assez longtemps pour savoir qui tu es.
- Vous avez osé m’espionner ?
- Eh bien pas exactement, il y a deux ou trois ….
- Stop ! Taisez-vous je ne veux plus rien entendre. Vous avez osé vous introduire chez moi, et comment d’abord ?
- L’équipement de notre vaisseau est suffisamment puissant pour …
- J’ai dit SILENCE ! ! ! Je me fiche pas mal de comment vous avez fait…
- Je vois que tu ne pas l’air d’avoir peur en ce moment.
- Non car je suis …
- En colère !
- Non et…..Mais c’est vrai !
- Te décide tu à nous écouter oui ou non ?
- Vu sous cet angle…. Je crois que je n’ai pas trop le choix.
- Au contraire ! C’est à toi de décider, ou tu veux participer à notre grande opération, ou tu refuses !
- Et vous dite que je vais sauver des gens, mais j’ai pas envie de mourir, ça a l’air marrant votre histoire, mais à mon avis, vous avez dû vous planter grave dans vos calculs les gars !
Vous avez vu comment je suis bâti ? C’est impossible ! Je n’impressionnerais personne.
- As tu confiance en moi Julien ?
- Je ne vous connais pas, mais vous m’inspirez confiance. Mais je n’arrive pas à m’imaginer en train de sauver des gens.
- Il est vrai que tout cela doit te paraître plus qu’étrange, et tu dois même te demander si nous ne sommes pas fou.
- Pour être tout à fait franc, en effet, cela m’a effleuré l’esprit. En fait, je ne comprends vraiment pas pourquoi vous voulez faire ça pour mon monde en admettant que tout ce que vous venez de me dire est vrai bien sur.
- Très bien tu veux une réponse ? ? Je vais t’en donner une. Nous parcourons le temps et l’espace, en vue d’aider les peuples les plus primitifs à prendre notre exemple de vie.
- Mais cela peut-être dangereux non ?
- Tu es très perspicace et je t’en félicite ! En fait, nous laissons les hommes « grandir » à leur rythme, seulement si nous ne les aidons pas à « corriger » certaines de leurs erreurs, c’est ton monde tout entier qui va en subir les conséquences.
-Mais vous entendez quoi par corriger leurs erreurs ?
- La Première et la Seconde Guerre Mondiale par exemple.
-Attendez ! Vous voulez dire que c’est grâce à vous si elles sont terminées ?
- Non ! Pas du tout ! Seulement nous avons tout fait afin d’en éviter une Troisième….
- Je commence à comprendre, sauf que je ne vois toujours pas ce que je vais y changer.
- Je vais tout te dire…enfin « elle » va tout te dire, dit-il en lui tendant un petit coffret.
- Une fille maintenant ?
- Pas exactement au sens où tu l’entends !
- Au risque de paraître idiot….
- Voici le premier Ordinateur Sensitif à Réactions Autonomes dit Graal en ouvrant le coffret sur une montre-bracelet.
- Et vous allez me dire qu’elle parle ?
- Bien sur que je parle Terrien ! Je pourrais même courir le cent mètres haies si tu me le demandais grogna l'ordinateur de sa voix synthétisée.
- Mais ? ? Comment faîtes vous cela ? C’est de la ventriloquie non ?

En voyant le regard du vieil extra-terrestre, Julien comprit que non. La montre-bracelet parlait bel et bien.

- Est-ce vraiment indispensable que je sois mêlée à tout ça Graal ? C’est tellement humiliant lança l’OSRA.
- Immanquablement très chère !
- Très bien c’est toi le patron !
- Heu…. Si je peux donner mon avis….
- Je suis là pour répondre à tes question terrien, non pour entendre ton avis dont je n’ai que faire.
- Elle est charmante ! Ironisa notre ami.
- Allons ! Ça suffit vous deux, pose tes questions Julien.
- Oui, je veux bien mais avant j’aimerais savoir quelles sont ses fonctions ?
- Cette machine est chargée de prendre soin de toi, et peut prendre automatiquement toutes sortes de décisions, sans aide quelconque.
- C’est impossible ! Vous savez comme moi qu’aucune technologie terrienne n’est assez compétente pour fabriquer un tel ordinateur !
- Tu oublie que tu n’es pas sur Terre mon jeune ami ! Répondit Graal de sa voix douce et calme. Et en lui tendant la montre : Alors ?
- Et tu t’appelles ? Demanda Julien à l’ordinateur.
- Mon véritable nom serait imprononçable dans ta langue mais d’après ma banque de données informatique, sa traduction la plus exacte serait Shirka.
- Rien que ça ! Bien alors Shirka, ma première question sera…
- Seconde question ! Coupa l’ordinateur.
- Oui seconde question pardon, comment ai-je atterri ici ?
- Tu n’as pas atterri humain, car pour cela, il faut d’abord s’envoler et tu n’en ai pas encore capable.
- Alors comment ?
- La téléportation bien sûr ! – et parlant à l’extra-terrestre : Graal, ne me dis pas que cet humain ne connaît pas la téléportation ?
- Tout ce qu’il doit connaître sur ce sujet ne peut en effet être que superficiel…
- Vous permettez ?
- Qui a-t-il ? demanda Graal.
- Je connais le sujet de le téléportation, c’est un procédé de dématérialisation, de transport et de re matérialisation de la matière.
- Bien mon garçon ! Alors Shirka qu’en dis tu ?
- Je….Je te présente mes excuses Terrien, heu… Pardon Julien. Je n’ai pas encore l’habitude des rapports humains.
- Ce n’est rien Shirka, je comprends que je puisse te paraître primitif.
- N’en parlons plus ! Bien reprenons : Je suis le premier prototype d’OSRA issu des génies des meilleurs savants d’Elara. Nous allons maintenant étudier ensemble tes futurs pouvoirs : en effet, dès ton retour sur la Terre, tu pourras entres autres choses :

_ Te propulser sur terre ou dans les airs à une vitesse pratiquement sans limite proche de la vitesse lumière.
_ Ton corps seras insensible à toutes sortes de douleurs physique tu seras en d’autres termes totalement invulnérable, aussi bien aux poisons qu’aux virus terriens.
_ Ton ouïe et ta vue seront poussées au-delà des limites humaines.
_ Ta force te permettra de porter un poids de plus de 9000 tonnes.
_ Un laser calorifique te permettra de rendre à tout objet détruit depuis moins de 15 minutes ses propriétés initiales ainsi que son aspect. En d’autres termes tu pourras remettre à neuf tout objet détruit ou détérioré du moment que tu respectes ce délai de 15 minutes Bien entendu ceci s’applique aux blessures humaines de toutes sortes. Seules les maladies te sont impossibles à guérir. Ce rayon optique peut aussi chauffer au gré de ta volonté jusqu’à 3 500° C.
_ Un rayon amortisseur de la même puissance que ta force physique et étant généré par les centres de contrôle de ce vaisseau seras aussi à ta disposition. Tu pourras l’invoquer par mon intermédiaire.
_ Un souffle glacé pouvant atteindre le zéro absolu fera aussi partie de tes pouvoirs.

- C’est fantastique s’exclama Julien.
- Tu as oublié un détail Shirka ! LE détail ! Insista Graal.
- J’y venais Graal, en effet Julien, il te faut savoir que lorsque tu porteras ton costume, tu devras éviter l’exposition au RATINIUM.
- Bien sur ! Si je savais ce que c’était que ce truc là !
- Ce truc comme tu l’appelle, est un matériau de type métallique un alliage en somme qui annihile tes pouvoirs et peut même te tuer.
- Eh ! Une minute les enfants ! C’était pas dans le contrat ça !
- Rassure toi ! Ce métal est très peu présent je dirais assez rare, il est fort possible que tes compatriotes humains ne connaissent même pas cet alliage ou son existence, ce qui ne représente qu’un faible facteur de risque, il fallait juste que tu soit au courant voilà tout.
- Voilà qui est rassurant soupira notre ami. »

Après un entraînement très particulier et une exposition à toutes sortes de rayons, il fut renvoyé chez lui avec sa co-équipière informatique.


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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeMer 4 Juin - 3:04

Les origines d'Aigle Noir Partie 3

La sonnerie stridente de son téléphone retentie dès son apparition dans son appartement :

« Julien ? C’est Gwen…. Mais que fais tu encore chez toi voyons ? Le proviseur veut nous voir !
- Un dimanche ? Tu rigoles ?
- C’était hier dimanche banane ! Nous sommes lundi et on n’attend plus que toi.
- J’arrive dans quelques minutes dit il en raccrochant le combiné téléphonique.

Il réfléchit à son problème en se rendant compte qu’après avoir passé un week end pratiquement sans dormir il n’était même pas fatigué et regarda Shirka. Il lui dit timidement :

- Dis moi ?
- Oui ?
- Je peux te demander mon costume s’il te plait ?
- Tu n’y est pas obligé mon cher il te suffit de tourner mon cadran dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et les molécules de tes vêtements civils se métamorphoseront et ton costume apparaîtra.
- Merci Shirka dit il en s’exécutant. »

Notre ami se métamorphosa et se regarda dans un miroir : nul n’aurait pu le reconnaître, il mesurait maintenant un mètre quatre-vingt-quinze pesait à vue de nez quatre-vingts kilos et ressemblait à s’y méprendre à un athlète. Il avait toujours le même visage, mais un masque noir le rendait méconnaissable. Son costume noir et jaune le surprit beaucoup, car il sculptait son corps comme aucun vêtement auparavant. Il s’envola de sa fenêtre et rejoignit son lycée. Il se changea de nouveau avec regret, et alla dans le bureau du proviseur :

- Ah enfin Monsieur Pirolle, vous avez mis le temps !
- Désolé Monsieur ceci ne se reproduiras plus je vous assure !
- Je l’espère ! Bien revenons à nos moutons mes enfants
- Vous Monsieur Pirolle vous allez me préparer tous les ordinateurs de cette école pour mes apprentis journalistes afin qu’ils me rédigent un encadré pour le journal de cet établissement.
- Bien Monsieur pas de problème, mais puis-je savoir ce qu’il se passe je vous prie pour justifier une telle démarche ? Il y a suffisamment d’ordinateurs dans la salle de rédaction d’habitude….
- Ce qui se passe ? Mais ou étiez-vous ce week-end bon dieu ?
- Eh bien j’étais chez moi…
- Et vous ne regardez jamais la télévision ?
- Disons que j’ai été très occupé répondit il en jetant un œil vers Gwendoline.
- Heu…oui bien passons ! Je vais donc vous expliquer un groupe terroriste à investit la Banque de France de Paris et y sont avec leurs otages depuis 72 heures.
- Et la police dans tout ça ?
- Elle n’a rien pu faire ! C’est une vraie forteresse ! Ils n’arrivent pas à entrer sans être vu par les caméras de surveillance, et au moindre dysfonctionnement du système les malfaiteurs menacent de tuer un otage vous voyez la situation ?
- Très bien oui et ils veulent quoi en échange des otages ?
- Vous allez rire ! Ils sont fous ils demandent que la police ne se lancent pas à l’assaut de leurs positions et la coquette somme d’1 milliard d’Euro en petites coupures !
- En effet ! Ils sont fous ! Bien je vais préparer les ordinateurs. Au revoir Monsieur.
- A bientôt Monsieur Pirolle. »

Notre ami se dirigea vers le hall d’entrée et monta dans un autobus vide mais au moment ou il allait se métamorphoser, Gwendoline le rattrapa : «

- Julien ? Mais qu’est-ce que tu fabrique ? On t’attend !
- J’avais besoin de prendre l’air, ce proviseur avec ses cigares m’a enfumé !
- Dans un bus ? Tu prends l’air dans les bus toi maintenant ?
- Je te promet que je vais sortir d’ici très très vite.
- Bien ! dit elle désabusée. Je t’attends en salle informatique.
- Les ordinateurs sont d’ailleurs déjà en route, je l’avais fait avant d’aller voir le boss.
- Parfait Julien à plus tard alors.
- Oui c’est ça à plus tard. »

Notre ami regarda la jeune femme s’éloigner et se métamorphosa, il ouvrit l’issue de secours arrière du véhicule et s’envola vers la capitale, non sans demander à Shirka de démarrer tous les ordinateurs de son établissement scolaire.

Cependant, à la Banque de France de Paris, les malfaiteurs étaient installés aux postes de commandes de sécurité pour vérifier que leurs exigences étaient respectées à la lettre.

Le téléphone sonna :

- Oui ?
- Ici le commissaire André ! Rendez-vous ! Vous n’avez aucune chance de vous en sortir !
- Ecoute papi : j’ai ici 40 otages, et si tu ne fais pas ce que j’ai demandé je vais en tuer un par heure, alors cesse de discuter et mets toi au boulot dit le malfaiteur en raccrochant.

- On n’arrivera à rien ! Ce qu’il nous faut maintenant c’est un miracle dit alors le commissaire à ses subordonnés.

Notre ami se posa près de la Banque à l’abri des regards indiscret afin de cacher sa présence aux criminels, il examina les parois et dit à Shirka : «

- C’est de l’acier tu crois que je peux le traverser ? ?
- Bien sur, mais ceci ne serait pas très malin, si toi tu ne risque rien n’oublie pas qu’il y a des vies humaines en jeu.
- Comment fais-je entrer la dedans moi ? ?
- D’après mon thermo scanner il y a 40 personnes dans la salle des coffres au 2ème sous-sol.
- Bien alors branche toi sur les services des canalisations pour voir si un égout ne passe pas à proximité.
- C’est déjà fait mon cher et l’entrée est à tes pieds.
- Parfait guide moi. »

Il pénétra dans les égouts de la ville et suivit les instructions de sa montre ordinateur jusqu’à un grand mur en fer forgé.

« Tu es derrière la salle des coffres, en traversant ce mur, tu seras près des otages.
- Bien ! Ma nouvelle vision va me permettre de vérifié qu’il n’y a aucun malfaiteur pour les surveillés. Ils sont dans une cage Shirka, enfin une sorte de cage…
- C’est le coffre de la Banque Julien ! D’après mes calculs ils leurs reste à peine trois minutes d’oxygène.
- Alors il n’y a plus une seconde à perdre. »

Il recula de quelques pas et envoya un formidable coup de poing dans le mur qui céda à son impact.

Les otages le regardèrent hébétés.
« Sortez tous d’ici en silence et en file indienne messieurs –dames faites vite ! ! !
- D’accord répondirent-ils à mi-voix. »
Il accompagna les otages et les fit rejoindre les camions de police, puis plus vite que l’éclair retourna dans le coffre de la banque.

« Joe ! Les otages ! Ils passent à la télé ! !
- Arrête de boire mon vieux tu as les nerfs qui lâchent !
- Mais regarde toi-même bon dieu !
- Qui ? Qui a fait ça ?
- C’est moi répondit Julien en arrivant derrière le malfrat.
- Mais qui est tu ?
- Mon nom ne te dirait rien ! Rends toi tout est finis
- Jamais ! Rétorqua t’il en faisant feu. »

Notre ami regarda les balles rebondirent sur sa poitrine invulnérable.
« On dirait des armes… Cela fait pas mal de bruit…Mais il faudrait les charger à l’avenir avec autre chose que des cartouches à blanc » dit notre ami moqueur.

Joe perdit tout contrôle de lui-même devant l’inefficacité de son arme et se jeta sur notre ami.
Il le frappa de toutes ses forces, et se brisa les poings. Ses complices se rendirent sur-le-champ et il escorta le dangereux groupe jusqu’aux camions de la police sous les applaudissements d’une foule en délire.

Sans attendre de remerciements, il décolla à la verticale, et retourna chez lui.

Un interphone particulièrement bruyant surpris Julien en plein sommeil.

Il ouvrit à son amie Gwendoline qui entra chez lui et l’enlaça tendrement :

- Que me vaut un tel câlin ? ?
- Je viens de rencontrer l’homme de ma vie !
- Ah oui ? ?
- Oui ! Je l’aime déjà !
- Ben… il vaut mieux en effet ! Et peut on être dans la confidence ?
- Tu n’as pas vu la télévision ?
- Heu non ! Pour tout te dire je dormais !
- Tu devrais sortir de chez toi mon cher ! Allume ta télé et tu vas comprendre de qui je parle.
- Je comprends tout tu as de nouveau craqué sur un acteur !
- Ne sois pas stupide ! Ce type existe regarde c’est lui ! dit-elle en pointant de son index le petit écran
- Qui est ce clown ? ?
- Tu ne tiendrais pas un round contre ce type Julien.
- On aurait pu s’en douter, mais tu ne m’as toujours pas dit qui il est.
- C’est justement mon problème ! Je n’en sais strictement rien !
- Laisse moi récapituler : Tu arrives ici en me sautant au cou et en me disant que tu viens de « rencontrer » l’homme de ta vie alors que tu ne le connais même pas ?
- Oui bon je t’accorde que le titre d’homme de ma vie était un peu abusé mais avoue qu’il est génial non ?
- Si je me fis aux apparences je dirais que c’est un gars qui veut se faire passer pour un super -héros aux yeux du monde.
- Il a apparemment de grands pouvoirs !
- Tiens donc ! Mais on nage en pleine bande – dessinée !
- Moque toi si tu veux n’empêche qu’il vole regarde !
- Simple trucage ! Superman en faisait autant dans son film. Arrête les cartoons ma chérie !
- Ce sont les infos que tu regardes banane ! Ils ne vont pas passer des infos truquées quand même !
- Ca ne serait pas la première fois ! Allons reviens sur Terre et oublie ce clown, c’est sûrement un canular, un fantastique canular je te l’accorde mais s’en est un tu peux me croire.
- Ce que tu peux être rabat-joie
- Là n’est pas la question Gwen seulement un homme qui vole ça n’existe pas !
- Mais je t’en prie avoue que pour une fois le grand Julien Pirolle peut se tromper !
- Très bien ma belle ! Comme tu voudras, je te laisse à ton imagination, et j’admet même l’existence de ce type mais à mon humble avis j’ai tort de faire ça.
- Ma parole Julien….Tu es…. Jaloux ?
- Moi ? Jaloux ? Non mais tu plaisantes ? Jaloux d’un type en collant qui fais semblant de sauver Paris en s’envolant ? Laisse moi rire !
- Bien ! N’en parlons plus ! Je suis venu te chercher pour que tu m’aides en maths, figure toi que j’ai oublié mon corrigé chez ma grand-mère.
- Et elle est comment cette grand-mère ? 1,95 m plutôt beau gosse et qui fume beaucoup ?
- Tu es incroyable, tu ne me crois donc jamais ?
- Excuse moi.
- Non je vais te prouver que je ne te ment pas et je vais pouvoir te faire rabaisser ton caquet pour une fois je ne vais pas m’en priver. »

Les deux amis prirent l’autocar en direction du quartier ouest de la ville et marchèrent un peu dans la cité.


Dernière édition par ALLO DOCTEUR PC le Mer 4 Juin - 3:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeMer 4 Juin - 3:05

les Origines d'Aigle Noir Dernière partie

En arrivant devant l’immeuble de sa grand-mère, Gwendoline cria :

« Mon Dieu Julien ! Regarde il y a le feu !
- Appelle vite les pompiers, je vais voir ce que je peux faire !
- Sûrement pas ! Appelle les si tu veux moi je vais chercher ma grand-mère. »

« Ce que cette fille est têtue, tu la supporte comment dis moi ? demanda Shirka à Julien
- Je t’en prie c’est loin d’être le moment pour ça, prévient les pompiers, et informe les que c’est une urgence.
- Ils sont déjà en route rassure toi.
- Très bien Shirka, alors en avant. »

Il se mit à l’abri des regards indiscrets, et en un quart de seconde se métamorphosa.
Il pénétra dans l’immeuble, et ferma les vannes de gaz, puis alla voir les pompiers

« Besoin d’aide Chef ?
- Ah c’est vous le super gars que j’ai vu à la télé ?
- Oui en effet ! Le feu chef s’il vous plait.
- Mes gars ont beaucoup de mal à le maîtriser, vous pouvez toujours aller les voir, mais tout risque d’exploser !
- Il n’y auras aucune explosion j’ai fermé toutes les vannes de gaz.
- Magnifique ! »

Notre ami décolla soudain à la verticale, sans raison apparente, puis entrant dans l’appartement de la grand-mère de son amie qui gisait à terre en état de semi-conscience.

« Ne vous inquiétez pas Madame, on va y aller en douceur. »

Il souleva la vieille dame et se jeta par la fenêtre sous l’œil inquiet de Gwendoline.
Doucement, il déposa son fardeau sur un des brancards du Service d’Aide Médical d’Urgence et frappa les poumons de la grand-mère à la vision calorifique.
Elle ouvrit les yeux en souriant, elle n’eu pas besoin de parler pour lui faire comprendre qu’elle le remerciait.

Médusé, les médecins le regardèrent s’envoler de nouveau pour aller chercher Gwendoline.

Soudain, un homme fit signe aux pompiers depuis sa fenêtre au 13ème étage.

« Envoyez moi l’échelle numéro 3 ! Ordonna le Chef des Soldats du Feu.
- Elle est trop courte !
- Mais alors … il est perdu ! »

L’homme sauta de sa fenêtre dans la panique et au moment où il allait s’écraser à terre, un éclair verdâtre zébra le ciel, et un rayon d’énergie l’enveloppa pour le déposer doucement sur le brancard d’une ambulance.

Les badauds regardèrent la pauvre victime encore hébétée par sa mésaventure lorsque notre héros atterrit avec Gwendoline dans ses bras.

« Chef ! Occupez vous de Mademoiselle s’il vous plait je vais maîtriser cet incendie.
- Ecoutez jeune homme, je ne sais pas comment vous faîtes tous ces trucs, mais laissez moi vous dire que….
- Je vous remercie » dit notre ami en décollant à la verticale

Et s’adressant à Shirka :

« Comment j’éteins ça moi maintenant ?
- C’est très simple, il te suffit de tourner le plus vite possible autour de cet immeuble, ce qui auras pour effet de créer une sorte de tornade de feu qui entraîneras les flammes avec toi et il ne te resteras plus qu’à les emmenez vers la stratosphère où cet incendie mourra.
- Ok j’ai compris ! »

Avec la vitesse de l’éclair, notre ami souleva les flammes de la tour comme une allumette et les entraînas avec lui haut dans le ciel ou les flammes privées d’oxygène disparurent comme par enchantement.

Il rejoignit Gwendoline à l’hôpital :
« Enfin te voilà toi ! Mais ou diable étais tu passé ?
- Ben j’étais partie chercher les secours comme tu me l’avais demandé.
- Et tu es parti les chercher à pied ?
- Non pas du tout mais il y avait tellement de monde agglutinés devant la cabine que j’ai jugé plus judicieux d’en chercher une autre, mais à mon retour il n’y avait déjà plus personne.
- Et ton portable ? Il était là pourquoi ? Hum ? ?
- Dans la panique je t’avouerais que je n’y es pas songé.
- C’est justement ça ton problème Julien ! Tu ne songes que très rarement.
- Excuse-moi de ne pas être un super - héros comme ton sauveur…..
- Tu veux vraiment qu’on en parle alors ? J’avais donc raison, non seulement il existe mais en plus, tu es jaloux de ce type.
- Je n’ai pas envie de me disputer avec toi Gwen, je t’aime trop pour ça.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu as dit ?
- Moi ? Ben que je n’avais pas envie de me disputer avec toi voilà tout.
- Non ! Après ça…
- Euh bien ensuite je ne sais plus moi je n’ai pas fait attention…
- Autant dire que je n’ai rien entendu ça arrangera bien des choses» répondit elle visiblement calmée.

Julien rentras chez lui et regarda les infos ou il pu admirer sa formidable prestation face à l’incendie de l’immeuble.

Le lendemain matin, le proviseur de son établissement était fou de rage, en effet, personne ne parlait dans son article du Sauveur de Paris et de la Tour Infernale.

« C’est un véritable scandale ! Et ça se prétend journalistes ? Non mais vous voulez rire ?
- Mais monsieur….
- Il n’y a pas de mais monsieur qui tienne ! Je veux que le nom de ce machin volant soit inséparable du Lycéen comme la politique et la corruption !
- Il n’as pas l’air très bavard intervint Julien.
- Parce que vous faites du journalisme vous maintenant ?
- Euh non monsieur je disais simplement que…
- Alors taisez vous ! Surtout pour dire des choses stupides. Contentez vous je vous prie de vous occuper de vos ordinateurs, vous me ferez plaisir. Croyez moi mes enfants celui ou celle qui parviendras à faire parler ce type obtiendras la plus formidable interview depuis celle que Dieu à accordée à Moïse. Allez fichez moi le camp et au boulot. »

Les étudiants reprirent leurs activités d’apprenti journaliste et notre ami s’entretint avec Gwendoline :

- Gwen, pour hier…
- C’est oublié Julien, je me suis emportée je suis désolée.
- J’ai pas assuré non plus remarque. Il aurait pu se passer quelque chose de grave.
- Allons oublie ça je te dis et aide moi plutôt à trouver des indices sur ce type tu veux ? »

Notre ami s’exécuta et demanda à Shirka par télépathie, une manière d’accorder une interview à l’un de ces camarades et surtout à qui il devait le faire.

Leur choix commun se porta évidemment sur Gwendoline.

Seulement, après mûre réflexion, un autre de ces amis avait davantage besoin d’obtenir cette interview : Xavier en effet était le seul de l’école à n’avoir pas sorti un article de première page depuis plus de deux ans.



Un soir, alors que ce dernier travaillait très tard à la bibliothèque de son quartier, Julien fit mine de le croiser « par hasard » sur le chemin du retour :

« Alors mon vieux ? Toujours à la recherche du type volant ?
- Ne m’en parle pas c’est un véritable cauchemar ce type, dès qu’il apparaît c’est pour disparaître presque aussitôt, il n’y a eu jusqu’à présent aucun moyen de le photographier, il a juste été filmer par la télévision, et tout ce qu’on as sur lui est vraiment sommaire.
- Ne désespère pas Xav… Tout arrive à qui sait attendre. »

Il l’accompagna jusque chez lui, et il prit congé.

Une heure et une métamorphose plus tard, Julien attendit son ami dans sa chambre.
Sous l’effet de la surprise, Xavier lâcha sa tasse de café fumante qui se déversa sur le tapis.

Julien frappa de sa vision calorifique les débris de porcelaine et la tasse apparut pleine de café comme neuve.

« La vache ! Comment vous faites ça ?
- Cela fait partie de mes nombreux pouvoirs Xavier !
- Vous connaissez mon nom ?
- En effet ! Tout comme je sais ou tu habite et aussi ou tu travaille.
- Je ne suis encore qu’un étudiant vous savez ! Mais je manque à tous mes devoirs ! Vous voulez boire quelque chose ? Un verre de vin, ou un apéritif peut être ?
- Non merci, quand je vole, je ne bois pas, et comme je vole sans cesse…
- Très bien. Un café alors ?
- Non rien je te remercie, peut être plus tard…Enfin je veux dire après …
- Après quoi ?
- Il y a beaucoup de gens qui doivent se poser une foule de questions sur moi, et je sais que tu fais des études de journalisme.
- En effet ! Et vous m’accordez une interview ?
- Oui c’est tout à fait exact.
- Je peux enregistrer notre conversation ?
- Bien sur voyons !
- Alors commençons…..Comment vous appelez vous ?
- Ju….euh non en fait…
- Ma question vous gêne ?
- Non seulement, j’ai une identité secrète, j’avoue que je n’ai pas encore un nom de « scène ».
- Ok je vois, alors on va le chercher ensemble si vous voulez
- Pourquoi pas…
- Que pensez vous de Cosmos Man ?
- Euh…
- Bien ça ne vous plait pas…. Le Justicier Noir…
- Ça sonne déjà mieux !
- Bon on avance, l’Emblème de Justice ?
- Euh la franchement !
- Vous êtes difficile ! Bon continuons l’interview on verras pour votre nom à la fin.
- C’est toi le patron Xavier !
- Donc commençons, vous êtes là pourquoi au juste ?
- Je suis là pour défendre la justice et la défense des droits humains !
- Hum c’est bien parlé ça je le garde, et quels sont vos pouvoirs ?
- Je sais voler, mais ça tu le sais déjà, mes cinq sens sont hyper développés, je suis capable d’atteindre la vitesse lumière, je possède un souffle glacé qui peux atteindre le zéro absolu, une vision calorifique qui répare les petits accidents et qui guérit les blessures humaines. J’ai enfin à ma disposition un rayon amortisseur qui me permet de sauver des gens lorsqu’ils sont nombreux ou bien que je suis déjà occupé.
- C’est fantastique ! Incroyable ! Magnifique ! Euh à propos que pensez vous de Magnificence Man ?
- Ou là beaucoup trop pompeux à mon goût !
- Bien n’en parlons plus, vous me faites penser à mon grand-père, il a recueilli un jeune aiglon quand j'étais petit et cet oiseau était d’un têtu !
- Un oiseau dis tu ?
- Oui un aigle…pourquoi c'est important ?
- Non mais une idée comme ça …
- Pour votre nom ?
- En effet, que pense tu d’Aigle Noir ?
- Ça c'est un scoop ! C'est moi qui ai trouvé votre nom !
- Tu vois que tout arrive ! Tu as fini avec ton interview ?
- Oh non ! J’ai encore une foule de choses à vous demander.
- Alors continuons !
- Bien ! Vous n’êtes pas d’ici, ça se saurait d’où venez vous ?
- Je suis un humain Xavier, autant que toi je suis seulement doté de pouvoirs qui te sont étrangers voilà tout.
- Et je suppose que la façon dont vous les avez eu ne regarde que vous ?
- Exact !
- Ok j’insiste pas, mais alors vous êtes aussi invulnérable non ?
- Pour le moment oui, au grand désarroi des criminels.
- Si je me coupe le doigt vous pouvez me guérir ?
- Oui !
- Comme tout bon journaliste je me dois de vérifier vos dires, ça ne vous gêne pas que je vous teste ?
- Pas du tout ! »

Xavier saisit son coupe papier et s’entailla légèrement le doigt, un coup de vision calorifique plus tard, il n’y avait plus aucune trace de la blessure.

L’interview eu l’effet d’un raz de marée, Xavier fut convié auprès des plus grands journalistes, à parler d’Aigle Noir, il était devenu son porte-parole, et un nouveau justicier était né.

Son nom était sur toutes les lèvres, et chacune de ses apparitions étaient immédiatement retransmises à la télévision.

Julien Pirolle, le jeune homme humble et ignoré était devenu grâce à Graal, une arme formidable pour la défense du Bien et tout ceci ne faisait évidemment que commencer

***** Si ça vous plait et que j'ai des commentaires je mettrais les chapitres suivants.
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeMer 4 Juin - 13:44

une vraie petite relique ^^
felicitations ma poule !
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeJeu 5 Juin - 3:14

j'essaye lol..... Embarassed
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeJeu 5 Juin - 21:32

tu essaye tres bien ^^
felicitations ma poule
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 2:54

bonsoir ,

tu as interêt Doc de mettre les chapitres suivants , je suis à fond dedans là , lol !
Chapeau , l'écriture est fluide ,bon sénar , un plaisir à lire et puis je suis fan des supers héros , ça tombe bien cyclops
aller , la suite , la suite cheers
bonne nuit
caro
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 11:30

ok ok ok à la demande générale je met la suite en ligne
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MessageSujet: Chapitre 2 : Une journée Mouvementée (partie 1)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 11:34

Julien profita de ses derniers mois de travail pour passer son permis et s’acheter sa première voiture, avec le concours de sa mère sans qui il n’y serait jamais parvenu.

L’été arriva très vite, et notre ami fut enfin libéré de son lycée. Il perdit aussi le contact avec Gwendoline, qui, pour ses futures études devait partir à Paris. C'était sa dernière année en tant qu’employé précaire, et il allait maintenant chercher un « vrai » travail. Seulement, malgré ces nombreuses compétences en informatique, son permis et sa voiture, il ne possédait aucun diplôme capable de valider ces dons, et c'était là tout le problème.

Grâce à ces nouveaux pouvoirs, il aurait pu trouver aisément quelque chose, seulement il voulait réussir par lui-même, et malgré tout l’honneur que cela lui apportait, c'était loin d’être gagné !

Il arpenta les différentes agences intérimaires de la ville sans toutefois trouver un job.

C'est en passant devant le cinéma que l’incident se produisit. Shirka l’informa que ses capteurs avaient détectés un cri étouffé venant des sanitaires souterrains.

Julien descendit le long de l’escalier lorsqu’il surpris les propos suivants :

« Lâchez moi immédiatement ! Vous me faites mal ! Criait une voix féminine.
- Je ne vais te faire que du bien chérie ! » Répondit l’homme menaçant.

Une métamorphose plus tard, et Aigle Noir apparut :

« La demoiselle t’a demandée de la lâcher je crois !
- Aigle Noir ! Je t’ai vu à la télé, et j’ai toujours voulu voir ce que tu valais devant un flingue dit l’agresseur en le mettant en joue.
- Ne te gêne pas pour moi ! Tire !
- Me le dit pas deux fois ringard ! »
Notre ami utilisa son laser pour chauffer l’arme à blanc, et l’agresseur la lâcha ainsi que sa victime en sanglots.
Cette dernière s’évanouit alors dans les bras de notre héros. Préférant s’occuper d’elle, il n’appréhenda pas l’agresseur qui s’enfuit à toutes jambes non sans jurer de se venger.

Il demanda ensuite à Shirka de prendre le contrôle de sa voiture afin de l’amener jusqu’à lui. C'est au bord d’un lac que la jeune femme s’éveilla lorsque Julien lui mouilla le front avec son mouchoir trempé dans l’eau claire.

« Où suis-je ? Et qui êtes vous ?
- Je m’appelle Pirolle ! Julien Pirolle. Vous êtes en sécurité maintenant. Détendez-vous !
- Mais où est Aigle Noir ?
- Envolé vers une nouvelle mission sans doute !
- Et que faîtes vous ici vous ?
- Je suis un de ses amis et je tentais de vous ranimer, et je crois y être parvenu.
- En effet oui ! Pardonnez moi je ne me suis pas présentée je m’appelle Alexandra Martinez.
- Enchanté mademoiselle !
- Nous avons à peu près le même âge, je pense qu’il est inutile d’être si cérémonieux !
- Oui tu as sans doute raison.
- Bien, c'est beaucoup mieux ! Mais au fait, comment vais-je rentrer moi ?
- Je peux te déposer quelque part si tu veux !
- Pourquoi pas ! De toute façon, personne ne m’attend !
- Même pas ton copain ?
- Il s’est fait la malle avec ma meilleure amie il y a trois jours.
- Désolé.
- Tu ne pouvais pas le savoir ! dit elle en voyant son visage honteux, dis moi tu as du temps devant toi là ?
- J’ai toute ma journée pourquoi ?
- Il y a une buvette dans le coin ?
- Je suis garé juste en face.
- Parfait ! Allons-y je meurs de soif ! »

Les deux jeunes gens lièrent très vite des liens qui passèrent d’abord par une amitié profonde puis par un sentiment amoureux réciproque.
Julien compris que pour Alexandra son physique n’avait aucune espèce d’importance, malgré sa beauté parfaite.
Elle voyait qu’il avait des tonnes de qualités sans ce défaut de disparaître sans cesse avec des excuses bidon.

Il trouva, grâce à sa petite amie, un poste de vendeur en informatique personnelle dans une grande surface, ce qui lui permis de pouvoir changer de style de vie. En effet, étant elle-même attachée commerciale dans une grande société, il lui avait suffit de faire « jouer » ses relations.
Les questions d’Alexandra sur ces disparitions éclairs devinrent très rapidement un souci majeur. Seulement, fidèle à son engagement envers les extra-terrestres Julien s’arrangeait toujours pour faire dévier la conversation.

Un soir, alors qu’ils étaient au restaurant, la montre de Julien sonna :
« Ah flûte ! C’est pas vrai !
- Quoi ? Que se passe t’il Bébé ?
- J’avais complètement oublié que je devais rappeler un client avant demain !
- Et ça ne peut pas attendre que nous rentrions ?
- J’en ai pour quelques minutes ma chérie » dit il en se levant.

Il l’embrassa et alla vers une cabine téléphonique :

« Shirka ! Tu ne vois pas que je suis occupé ?
- Désolé mon cher mais le devoir t’appelle !
- Pas maintenant !
- Navré d’insister, mais ta mère est en danger Julien !
- Quoi ? Ou ça ?
- Un groupe de délinquants tente en ce moment même de lui voler sa voiture.
- On est parti ! »
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MessageSujet: Une journée mouvementée (partie 2)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 11:37

Il sortit du restaurant en courant et se métamorphosa à l’abri des regards indiscrets. Il décolla à la verticale et fonça vers le lieu de l’agression.

« Allez donne ton sac et tes clés et on ne te frapperas pas !
- Jamais ! Vous devriez avoir honte !
- Honte ? Promis chérie on va reprendre le droit chemin, mais avec ton sac et ta caisse !
- Ça tu vois… j’en doute » dit Aigle Noir debout les poings sur les hanches sur le toit de la voiture de sa mère, sa cape claquant au vent.

Il neutralisa le dangereux trio et prévint la police par l’intermédiaire de Shirka.

« Merci beaucoup Monsieur !
- De rien mam…madame, c'était un plaisir dit il en s’envolant, à bientôt »
Il s’engouffra dans le restaurant ou il dut débloquer un ascenseur, et rejoignit sa table après une transformation éclair.

« Où étais tu ?
- Ben je te l’ai dit voyons, au téléphone.
- Hum ! Viens sortons d’ici, il faut que je te parle.
- Tu ne veux plus manger ?
- J’ai perdu l’appétit à t’attendre ! »

Ils se levèrent et quittèrent le restaurant.

Sur le chemin du retour, Alexandra arrêta la voiture en bordure de la route, et en descendit.
« Viens Julien, je vais te montrer quelque chose…
- A cette heure ci ? Et au milieu d’un bois ? Mais tu as perdu l’esprit !
- C'est désert ici voyons ! On ne risque rien. Puis… tu es avec moi.
- Un rien te rassure ma chérie »

Ils arrivèrent près d’une grande mare, dans laquelle se jetait une cascade.

« C'est mon jardin secret, tu es le premier à le découvrir.
- C'est magnifique mon ange ! Tout bonnement superbe !
- Je t’aime Julien, et je souffre de ça.
- Pardon ?
- Tu m’as très bien comprise, je t’aime et j’en souffre car tu ne me fais pas confiance et tu ne me dis pas tout.
- Voyons ! Ma chérie, mais que vas tu chercher ? Que veux tu que je te cache voyons ?
- J’avoue que parfois j'ai l’impression d’être avec un autre homme, surtout lorsque tu me mens.
- Je ne comprends absolument rien à ton charabia.
- Là ! Le voilà ce regard fuyant qui me dit encore une fois que tu mens Julien.
- Que me caches tu ? Que devrais-je savoir ? Tu es marié ? Tu connais une autre fille ?
- Ne sois pas ridicule voyons ! Je n’aime que toi et si tu peux comme tu le dis lire dans mes yeux, tu verras que je ne te mens pas, seulement pour ta propre sécurité, je ne peux pas toujours tout te dire.
- C'est ta double identité que tu tentes désespérément de me cacher ? C'est ça ?
- Ma quoi ? Dit Julien interloqué.
- Si tu crois que depuis le temps que je te connais je ne sais pas qui tu es Julien Pirolle c'est vraiment que tu me prends pour une idiote.
- Comme je te l’ai dit je n’entends rien à tout ce charabia.
- Le grand Aigle Noir bat en retraite ?
- Tu dis ?
- Je sais qui tu es Julien ! Bas les masques s'il te plaît, j’en ai assez de passer pour une pauvre imbécile qui ne comprends rien à rien.
- Ton imagination est débordante mon ange, mais là tu fais fausse route ! Regarde ce type une seule seconde, et tu verras que je n’ai absolument rien de commun avec lui.
- Sauf que vous n’êtes jamais ensemble au même endroit et au même moment, c'est quand même bizarre pour des amis tu ne trouves pas ?
- Aigle Noir vient me voir dès qu’il le désire, et en général cela se fait secrètement ce que tu peux comprendre je pense.
- S’il n’y avait que cela à comprendre, tu disparais toujours avec des excuses toutes faites, tout à l’heure au restaurant par exemple…
- Je devais appeler un client je te l’ai dit !
- Sauf que lorsque je me suis levée pour aller voir à quelle cabine tu étais, il n’y avait personne ! Alors quel mensonge vas tu encore trouver pour me prouver que tu n’est pas Aigle Noir ? Même lorsque tu as débloqué le monte-charge…
- L’ascenseur ! C’était un ascenseur…
- Et comment peux tu le savoir ? Tu étais au téléphone !
- J’en ai assez !
- Tu m’en veux n’est-ce pas ?
- Pas du tout ! Seulement il faut que tu m’explique une chose, si je suis Aigle Noir, comment explique tu qu’il se trouve en ce moment derrière toi ?
Alexandra se retourna et le vit. Aigle Noir était derrière elle et lui souriait.
- Comment… ? Comment cela est il possible ?
- Bonsoir Julien ! Tu m’avais caché que ta copine était si délicieuse ! Alors comment ça va depuis votre agression ?
- Bon…Bonsoir Aigle Noir. Je vais très bien je vous remercie.
- Excellent ! Je passais dans le coin, et comme j’ai entendu que l’on parlait de moi…je suis descendu vous voir. Julien était avec moi tout à l’heure, nous avions rendez-vous, seulement je voudrais que ceux-ci restent secret voilà pourquoi il lui arrive de vous mentir.
- Je vois ! dit alors Alexandra.
- Bien ! Maintenant que tout est réglé, passez une bonne soirée les amoureux, et à bientôt dit il en décollant à la verticale. Julien on se reverras un de ces jours.
- Ok ! À plus …et se tournant vers Alexandra : Où en étions nous mon ange ?
- Rentrons ! Dit elle visiblement vexée»

Les deux jeunes gens rentrèrent chez Alexandra, dans un silence total

Mais allez vous me dire cher lecteur, Julien est bien Aigle Noir, alors comment un tour de passe-passe comme celui ci est il possible ? Revenons si vous le voulez bien sur la « rencontre » entre Shirka et Julien et souvenez vous que cette dernière est chargée de prendre soin de lui, et ce automatiquement, elle a donc créer un double holographique d’Aigle Noir et l’a animé comme si il s’agissait de notre héros, une voix synthétisée et le tour était joué.

« Chérie ! Voyons dis quelque chose.
- Non, j’ai mis ta parole en doute, je t’ai pris pour Aigle Noir, tu dois me prendre pour une sotte.
- C'était plutôt flatteur, puis remarque, toutes les femmes rêvent que l’homme qu’elles aiment soit Aigle Noir non ?
- Certes ! Excuse moi.
- C'est oublié mon cœur.
- Remarque il est beau gosse ton copain.
- Tu redis ça encore une fois et je te jure que je t’étrangle dit Julien en l’embrassant tendrement. »

Le lendemain matin, Julien profita de sa journée de congé pour flâner un peu avec sa copine, seulement, comme elle devait travailler, il se retrouva vite tout seul devant la télé.
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MessageSujet: Une journée mouvementée (partie 3)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 11:38

En zappant à la recherche d’un truc intéressant à voir, son attention fût attirée par un reportage sur les greffes cardiaques, et notamment le cas exceptionnel d’un petit garçon de huit ans qui était partie visité les Etats-Unis avec ses parents et qui de ce fait se trouvait trop loin pour recevoir sa greffe de cœur à temps.

Julien se mit aussitôt en tête de retrouver le petit Nicolas. Il se métamorphosa et fonça vers l’hôpital de la Pitié Salpetrière de Paris afin d’en savoir plus.

Il interrogea le médecin chef de service qui lui tint ce discours : «
- Ecoutez, je doute sincèrement que vous puissiez faire quoi que ce soit dans ce cas précis Aigle Noir et ce malgré vos grands pouvoirs.
- Donnez moi quelques heures et je le retrouverais, ou du moins je tenterais. Je ne peux pas rester les bras croisés et le regarder mourir.
- Je vous laisse cinq heures Aigle Noir, ensuite je serais obligé d’opérer un autre malade.
- Vous avez une photo de l’enfant ?
- Tenez j’en ai justement une dans mon dossier.
- Merci ! Shirka scannerisation !
- Que faites vous ?
- Je possède un scanner à commande vocale.
- Je vois. Bonne chance Aigle Noir !
- Merci et à tout à l’heure Docteur. »

Notre ami se mit en route, et dit à sa co-équipière : «
- Tu ne dis rien Shirka ?
- Un simple scanner n’est pas doté de la parole mon cher !
- Tu aurais peut-être préféré que je lui dise la vérité ?
- Certes non mais quand même, un ordinateur aussi perfectionné que moi être comparé à un scanner, il y a de l’abus…
- Toujours aussi modeste…
- Mes capteurs viennent d’enregistrer une conversation sur les ondes des pompiers de Lyon.
- Passe le moi !
- Attention aux brigades de sauvetage dans le secteur B24 ceci est un appel en Alpha Kilo Huit Heures, un camion vient de défoncer le parapet d’un pont et la cabine et son occupant se balancent dans le vide.
- Identification des codes enregistrés Shirka.
- Un Appel en Alpha Kilo Huit Heures est un appel en priorité autrement dit un code rouge quant au secteur B24 il se trouve dans la région de Villeurbanne.
- On y va. »

Notre ami arriva au moment ou la cabine et son occupant tombaient dans le vide suivi par la semi-remorque.

Un éclair verdâtre déchira le ciel et le camion resta suspendu dans les airs, pendant que notre ami sortait délicatement le chauffeur de son infortunée posture.

Ensuite, comme porté par une main géante, le rayon amortisseur d’Aigle Noir emporta le véhicule sur la route ou il le déposa doucement.

Après s’être assuré que tout danger était écarté et après avoir réparé le parapet du pont notre ami repartit vers sa quête d’origine.

En chemin il arrêta trois accidents de la route cinq attaques de banques et un ouragan. Il arriva enfin en Californie ou le petit Nicolas venait d’être admis aux urgences à cause de son cœur. Ce qui facilita les recherches.

Notre héros obtint l’autorisation de ses parents de l’emmener à Paris pour le sauver.

Il enveloppa l’enfant dans sa grande cape noire pour le protéger des frottements dus à sa super vitesse et s’envola avec lui.

Il arriva dans la capitale française 30 minutes plus tard sous les applaudissements des médecins qui se mirent immédiatement au travail et opérèrent l’enfant.

Cependant, en plein cœur de l’océan pacifique, le sous-marin nucléaire Charles II procédait à des essais sur un tout nouveau type de missile à guidage infrarouge.

Après un lancement parfaitement réussi en direction d’une île déserte l’indicateur vocal d’alerte brisa l’enthousiasme de l’équipe militaire : «

-Missile RBX 212 dévie de sa trajectoire programmée : Code Erreur n° 458
- C'est quoi l’erreur 458 Sergent ?
- Je vérifie mon Général, c'est une défaillance de son système de guidage, il se dirige vers l’Islande
- Mesure d’auto destruction.
- Ca ne marche pas mon Général !
- Passez moi le commandement Atlantique ! Il faut qu’il fasse décoller deux Mirages afin de réduire ce missile en cendres.
- Impossible mon Général, toutes les communications sont coupées, de plus le RBX 212 est doté du tout dernier revêtement fantôme ce qui le rends invisible pour tous les appareils actuellement en vigueur.
- Mon Dieu ! Qu’avons nous fais ? »

Shirka sortit Julien de sa léthargie :

« Ta journée n’est pas finie mon chou !
- Je te demande pardon ?
- Excuse moi je testais une réplique de cinéma dans une de mes phrases !
- C'est tout toi ça ! Qu’y a t’il ?
- Un missile se dirige à toute allure vers l’Islande.
- Tu ne peux pas le dévier ?
- Je vais essayer.
- Parfait je savais que tu étais la meilleure !
- Enlèves ce que tu viens de dire Julien, j’ai aggravé les choses, le missile vient de doubler sa vitesse et vient tout juste d’exploser à 5000 mètres de profondeur.
- Je ne vois pas en quoi cela est grave Shirka s’il a explosé dans l’eau ou est le problème ?
- Eh bien l’explosion sous-marine risque de déclencher un raz de marée.
- On y va !
Une gigantesque vague de 50 mètres de haut se forma au large des côtes islandaises et se rua vers elles a près de 180 Km/heure.

Aigle Noir arriva devant la vague meurtrière et dit à Shirka : «

-Tu peux me dire comment je suis censé arrêter un raz de marée ?
- Je n’en sais fichtre rien, c'est toi le héros après tout !
- Merci Shirka ton aide m’est précieuse sur ce coup là.
- Je plaisantais bien sur, congèle la vague à l’aide de ton souffle glacé.
- Ok répondit-il en s’exécutant et ensuite ?
- Ensuite grâce à ton laser il te suffira….
- De la faire fondre ! Mais bien sur ! Tu es géniale Shirka.
- Sans fausse modestie je dirais mon cher que je le savais. »

Pendant ce temps, les médecins du service de Cardiologie de La Pitié Salpetrière se félicitaient du parfait déroulement de l’opération sur Nicolas. Le jeune garçon était dans sa chambre en état de semi-conscience. Seulement, personne ne distingua le spectre fantomatique qui apparut au jeune garçon à son réveil, ce qui, soyons en certain ne seras pas sans effet sur le futur de notre ami et de son nouveau protégé.
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 11:44

Ce chapitre est un peu plus court que le premier mais c'est un chapitre charnière très important pour toute la suite du Roman .... amusez vous bien prochainement la suite.... et même très vite si vous êtes sages ! tongue
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 12:24

ça y est , je suis accro bounce , met nous vite la suite là , sinon je vais bom , lol
vraiment très bien écrit ! yes !!!!
une bonne journée malgrés la flotte

caro flower
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MessageSujet: chapitre 3 : ANGEL GUARDIAN (partie 1)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 13:06

Déjà ? vache t une rapide toi allez sans transition la suite !!!!

Quelques mois passèrent, et Alexandra s’habituait aux absences répétées de notre ami. Cependant, contrairement à ce qu’il croyait, son identité secrète était loin d’être sauvée.

Mais pour le moment, c'était le cadet de ses soucis, puisqu’Aigle Noir était en plein milieu de l’Océan Indien, ou il sauvait un paquebot des flammes.

Après avoir maîtrisé l’incendie, il plongea sous le navire, et le souleva de la surface de l’eau pour s’envoler avec lui et le déposa à son port d’attache : celui de San Francisco.

Il s’assura que tout les passagers allaient bien et repartit vers la France.

Seulement en survolant Boston, Shirka lui dit :

« Mes capteurs détectent une source d’énergie étrange…
- De quel genre ?
- Je l’ignore, mais j’ai peine à croire ce que j’enregistre, jamais je n’ai détecté une puissance pareille pas même sur Elara.
- Mais c'est impossible voyons !
- Je t’assure qu’un tel pic énergétique n’apparaît nulle part dans ma banque de données.
- Recommence tes calculs Shirka !
- J'ai déjà vérifié cinq fois Julien ! Tu devrais aller voir.
- Très bien ! Allons y ! »

Il arriva à l’épicentre du pic d’énergie et pâli d’horreur. En effet, le spectacle qui s’offrit à ses yeux lui fit l’effet d’un électrochoc.

Un jeune garçon d’une vingtaine d’années gisait inconscient autour d’un halo bleuâtre.

« N’y va pas ! Intervint Shirka. L’énergie que dégage ce jeune homme est si intense qu’elle te serait fatale.
- Je suis invulnérable Shirka !
- Je le sais parfaitement, seulement cette énergie est issue de sa chevalière, qui est composée, d’après mes calculs, de plus de 98 % de RATINIUM.
- Les habitants d’Elara sont-ils sensibles à ce métal ?
- Non, pourquoi ?
- Téléporte nous là bas dans ce cas !
- Sur le vaisseau, il n’y a aucun problème mais …
- Cesse de discuter Shirka ! Fais le ! »

Quelques minutes plus tard, Graal vint voir notre ami :

« Comment va t’il ?
- Eh bien en fait, je dirais qu’il se porte à merveille !
- C'est une plaisanterie ?
- Pas du tout ! Il va très bien !
- Tant mieux ! Jamais je ne me suis senti aussi impuissant Graal.
- Tu as pris la bonne décision Julien, et j’ai une surprise pour toi.
- Ah oui ?
- Regarde cet écran. Ton inconnu y est représenté comme tu peux le constater.
- C'est vraiment une représentation sommaire intervint Shirka.
-En effet dit Graal dans un sourire mais ce n’est pas tout, nous savons tout de lui maintenant et je te laisse l’honneur d’interroger l’Ordinateur Central.
- Ordinateur Central ! Est tu en ligne ?
- Liaison effective Aigle Noir !
- Je veux tout savoir sur ce jeune homme que j’ai amené il y a un instant.
- Bien sûr Aigle Noir ! Votre niveau de commandement vous autorise à avoir accès à ces informations, il se nomme Dylan Brainstorm, est né aux USA dans la ville de New York il y a tout juste 20 ans. Il mesure 1m82 pour 80 kg, à les yeux bleus et les cheveux châtains.
- Mais encore ?
- Il est diplômé de l’université de Harvard Massachusetts depuis 6 mois, et aime la formule 1 et le football, il est d’ailleurs le capitaine de son équipe.
- Mes félicitations Ordinateur Central, mais en ce qui concerne la raison de sa présence ici ?
- J’y venais Aigle Noir, tout indique que la chevalière qui l’a mis dans cet état est d’origine inconnue.
- Comment ça inconnue ? Même pour vous ?
- Nous avons cherché son origine dans les 28 galaxies connues et il n’y a aucune civilisation qui en fait référence Aigle Noir je suis désolé.
- Pas autant que moi. Alors on se sait rien de ce type ?
- Je n’ai pas dit ça Aigle Noir. Si vous me laissiez terminé mon exposé…
- Enfin quelqu’un qui est d’accord avec moi ironisa Shirka.
- Je te dispense de tes commentaires toi !
- Allons mes amis ! Calmons nous intervint Graal, termine ton exposé Ordinateur Central !
- Merci Grand Président ! Les conséquences de son exposition à cette énergie puissante seront hors du commun, il a subi un choc si intense que c'est un miracle qu’il soit encore vivant. Mais ce n’est pas tout, l’organisme du jeune Dylan à entamer une mutation qui s’achèveras dans 36 heures terriennes c'est à dire 10 minutes Elarienne.
- Mon Dieu…
- Le résultat d’une telle dose de radiation va provoquer certains changements équivalent à votre propre mutation Aigle Noir. Il sera totalement invulnérable, pourra se téléporter, sa force physique supporteras un poids de plus de 20 000 tonnes, il sera doté de pouvoirs télékinésiques, seras super cultivé, liras dans les pensées humaines, une vision aux rayons X et l’invisibilité feras partie intégrante de ses possibilités. Sans omettre le fait que le voyage dans le temps et les mondes parallèles seront pour lui un jeu d’enfant.
- Rien que ça ! Un peuple capable d’offrir de tels dons doit forcément être très puissant je ne peux pas croire que vous ne les connaissiez pas.
- En effet Julien ! Seulement après avoir sondé son cerveau juste avant sa mutation nous savons qu’il sera digne de tout ces pouvoirs. Autant que tu en est digne toi-même mon garçon.
- Merci Graal, et pour sa bague ?
- Nous avons appliqué un isolant à son bijou, qui te protègeras du RATINIUM.
- Première bonne nouvelle de la journée.
- J’avais autre chose à te dire…
- Je m’y attendais, vu sa puissance par rapport à moi je suppose qu’Aigle Noir va être mis au rencart ? Fini l’aigle du troisième âge, bonjour à la nouvelle vague de héros c'est ça ?
- Toujours aussi parano Julien ! En fait je voulais te dire qu’il aurait besoin de toi.
- Tu me demandes de lui servir de baby-sitter ?
- En quelques sortes oui !
- Alors ça c'est trop fort !
- Ça ne sera que de courte durée intervint alors une voix derrière lui.
- Qui ?… Dit notre ami en se retournant.
- Enchanté de faire la connaissance du grand Aigle Noir, je m’appelle Angel Guardian, et je suis près à t’aider dans ta lourde tâche.
- L’Ange Gardien ? AHAHAHAHAHA c'est trop fort comme nom ricana Shirka.
- Je ferais mine de n’avoir rien entendu !
- Excuse-nous Dylan, nous sommes ravis de te connaître ! Ne fais pas attention à Shirka, elle est toujours comme ça avec les inconnus.
- Alors comment le trouves tu ? » Demanda Graal.

Julien l’observa. Il était vraiment différent du jeune homme qu’il avait amené sur le vaisseau, une grande crinière blanche lui descendait le long du dos en remplacement de ses cheveux courts et châtains. Une sorte de casque lui masquait totalement le visage, et son costume formait une sorte d’armure qui lui recouvrait tout le corps. Décidément les costumes Elariens le surprendraient toujours.

Il suivit avec beaucoup d’attention l’entraînement intensif de Dylan afin que ce dernier puisse contrôler sa grande puissance. De plus tout comme Shirka, sa chevalière était dotée d’une intelligence artificielle et de la parole grâce notamment à l’intervention des savants d’Elara qui avaient dû mettre les bouchées doubles pour concevoir un second prototype d’OSRA.

Ils repartirent tout deux sur Terre, ou Julien lui proposa de l’héberger : «

Tu vas passer pour un cousin à moi si tu es d’accord …
- Je crains de ne pas avoir trop le choix tu sais.
- En effet ! Il faut que je puisse garder un œil sur toi et aussi que je te montre comment garder ton identité secrète.
- Hum mais dis moi qui est cette super nana ? dit il en prenant un cadre avec la photo d’Alexandra.
- C’est Alexandra, ma copine ! Et si tu y touches tu es mort…
- Allons ! Ne t’emballes pas Julien, je plaisantais c’est tout.
- Mieux vaut prévenir que guérir. Je détesterais ce genre de relations entre nous.
- J’ai déjà une petite amie, dit il en sortant une photographie de son portefeuille ; regarde je te présente Tiffany, nous sommes ensemble depuis un an.
- Je vois que nous avons pratiquement les mêmes goûts en matière de femme.
- C’est déjà un bon début non ?
- Nous verrons bien soupira Julien. »

Alexandra entra chez notre ami en trombe sans apercevoir son invité :

« Que vas-tu encore me trouver comme excuse cette fois ?
- Je te demande pardon ?
- Deux jours !!! Cela fait deux jours que je te cherche partout ! Ou était tu encore passé ? Même ta mère ignore où tu étais !
- Je te présente Dylan mon trésor. Mon cousin.
- Euh enchanté ! Alexandra Martinez…
- Tout le plaisir est pour moi mademoiselle.
- Ton cousin est… charmant dit elle dans un sourire.
- Euh oui bon on ne va pas passer la journée la dessus non plus coupa Julien, Dylan vient d’arriver de Boston et j’ai dû aller le chercher à l’aéroport d’Orly.
- Boston ? Tu es américain ? C’était donc ça cet accent dans ta voix ?
- En effet ! Mais je maîtrise parfaitement le français, je suis diplômé de Harvard.
- Mon Dieu ! Mais tu es jeune pourtant…
- Je viens de fêter mon vingtième anniversaire.
- 20 ans et tu es déjà diplômé ? Dis donc Julien tu m’avais caché qu’il y avait des surdoués dans ta famille…
- Je t’assure que je l’ignorais encore il y a quelques jours. »

Alexandra passa le reste de la soirée avec nos deux amis, et n’insista pas plus longuement sur la disparition de Julien, ce dernier promit de la prévenir ou cas ou de tels évènements viendraient à se reproduire.

Pendant deux semaines, Julien observa son jeune protégé et lui inculqua tout ce qu’il devait savoir. Angel Guardian se montrait vraiment très appliqué dans sa tâche de super héros.

Julien le trouvait trop impulsif et par conséquent pas assez en retrait par rapport à son personnage, mais ceci mis à part ses résultats étaient excellents.

Il adorait visiblement sauvé des vies et enfermés des criminels. Rapidement Graal donna son accord pour que Dylan puisse vivre sa vie pleinement sans la tutelle de Julien.

Il rentra donc chez lui à New York. Six semaines après son apparition le nom d’Angel Guardian était cité au moins une fois par jour à la télévision et ceci pour le plus grand plaisir d’un de ces nombreux fans : un petit garçon de sept ans nommé Jean Pierre.

En effet, fan est un mot trop faible pour qualifier l’adoration du petit garçon face à son héros. Il lui vouait un véritable culte. Ses parents lui achetaient en conséquence tout ce qu’ils pouvaient trouver sur l’Ange Gardien, mais pour son huitième anniversaire, le seul cadeau rêvé de Jean-Pierre était un véritable mystère, même pour lui. Sa chambre ressemblait plus à un musée qu’à autre chose et il était maintenant difficile de lui offrir un présent en corrélation avec son héros.

L’argent n’étant pas un problème pour sa famille, Jean-Pierre et ses parents prirent donc l’avion pour un voyage éclair à New York.

A leur arrivée le taxi qui devait les menés à l’hôtel tomba en panne près d’une station service.
Jean Pierre en profita pour se rendre aux toilettes. En entendant sa mère l’appeler, il se précipita sur la route sans regarder autour de lui. A ce moment, un énorme trente huit tonnes s’engagea sur le parking à une vitesse élevée mais ayant mal négocié son virage le camion continua sa course tout droit en direction de Jean Pierre. Ce dernier paralysé par la peur voyait le danger s’approcher de plus en plus sans pouvoir réagir. Le chauffeur changea violemment de direction en apercevant le jeune garçon. Sa semi-remorque se détacha sous le choc, mais bloqué dans son élan par ses cales elle se mit à faire des tonneaux en direction du gamin qui hurla.

L’instant d’après il sentit son corps emporté dans le ciel, et quand il réalisa qu’il volait il découvrit qu’il était dans les bras d’Angel Guardian.

Il le déposa auprès de ses parents complètement paniqués et remit tout en ordre avant de disparaître en un clin d’œil. Jean Pierre, lui, était euphorique, il venait de réalisé son rêve : rencontrer son héros.

Ses parents lui achetèrent son costume en taille réduite et le petit était fou de joie. Ils rentrèrent tout trois à l’hôtel ou ils avaient loués une chambre au 50ème étage.
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MessageSujet: chapitre 3 : ANGEL GUARDIAN (partie 3)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeVen 6 Juin - 13:08

Pour mieux rêver, Jean Pierre insista pour porter la panoplie de L’Ange Gardien.

Seulement lorsque ses parents furent endormis et qu’il regarda les lumières de New York, il voulut voler comme son héros, voler comme un oiseau.

Deux jours plus tard, on mettait en terre, Jean Pierre.

Ignorant tout de ce drame, Angel Guardian était au moment des faits en compagnie d’Aigle Noir à l’est de la Russie ou ils empêchaient une catastrophe nucléaire d’avoir lieu.

Six mois passèrent, et Dylan, s’habituait à avoir un emploi du temps plus que complet. Il suivait toujours ses cours à l’Université, mais avait choisi de laisser le sport de côté vu les responsabilités de son alter ego.

Ayant toujours été un jeune homme très organisé, il réussissait même à avoir du temps libre, ce qui lui laissait le temps de voir sa copine Tiffany.

Un jour, alors qu’ils étaient dans un drive-in Dylan ressentit une légère vibration dans son doigt, Phoenix, l’ordinateur interne de sa chevalière devait avoir une chose importante à lui dire. Il prétexta devoir aller chercher des boissons et se mit à l’écart : «
- Oui Phoenix ? Que se passe-t-il ?
- Change toi au plus vite, et rends toi près de l’Empire State Building c’est urgent !
- Explique-moi ce qui se passe !
- Une gigantesque boule d’antimatière est suspendue dans les airs et menace de détruire l’immeuble, si cela se produit, l’antimatière se dilateras et formera un trou noir qui aspirera la planète.
- Oulla ! Prévient Shirka immédiatement c’est un travail pour Aigle Noir ça !
- Impossible, je ne parviens pas à entrer en contact avec Shirka ou Julien je suis navré, l’antimatière émet des radiations qui annihile toutes mes tentatives de connexion avec eux.
- Super ! Bon on y va. »
Il s’excusa platement à Tiffany et prétexta avoir été contacté par un ami dans le besoin.
Il se métamorphosa et décolla à la verticale. Il arriva sur place quelques secondes plus tard. A ce moment la boule d’antimatière monta à une vitesse fulgurante vers l’ionosphère et se plaça en orbite autour de la Terre.

Dylan la suivit pendant près d’une heure lorsque Phoenix détecta une sorte de rayon qui semblait la commander…

Ce dernier était envoyé par une machine, se trouvant sur une île, près d’un homme avachi sur un hamac.

« Angel Guardian ! Je suis ravi de vous voir.
- Ravi ? Alors que vous menacez des milliards de vies humaines ? Mais vous avez perdu l’esprit ?
- Pas du tout ! Je suis réellement ravi de vous voir !
- Je n’ai pas de temps à perdre avec des bavardages futiles répondit notre ami en se dirigeant vers la machine
- Minute !... Si vous détruisez cette machine Ange Gardien, mon module recevra l’ordre de s’auto détruire, alors que moi je peux l’arrêter d’un geste…. Si vous m’écoutez un instant.
- Alors faites vite !
- Je crois que vous avez la faculté de voir à travers les murs non ?
- En effet !
- Alors jetez un coup d’œil dans ma chambre à coucher je vous prie
- Où dois-je regarder exactement ?
- Sur la table de chevet que voyez-vous ?
- Un cadre avec une photo de…. Mais bien sur ! Je me souviens de vous maintenant ! J’ai sauvé votre fils il y a quelques mois de ça près d’une station service !
- Je vous félicite pour votre prodigieuse mémoire Ange Gardien !
- Je doute que vous m’ayez attiré jusqu’ici pour me féliciter sur mes dons je me trompe ?
- Non ! En fait vous êtes ici pour sauver mon enfant de nouveau !
- Que se passe-t-il ? Il est malade ?
- Il est mort.
- Je ne comprends pas bredouilla notre ami.
- Jean-Pierre était un petit garçon comme les autres jusqu’au moment ou vous avez fait votre apparition dans nos cieux. Il vous vouait un véritable culte. Barbara - sa mère - et moi nous en amusions ; à vrai dire, nous l’avons même poussé à suivre votre exemplaire dévouement pour le monde.
- Continuez..
- Le jour où vous l’avez sauvé, il était dans un tel état de bonheur que nous décidâmes de lui offrir la réplique de votre costume que tous les commerçants vendent à chaque coin de rue.
- Je ne vois toujours pas où vous voulez en venir..
- Patience, j’y arrive, le soir, il a voulu porter votre panoplie pour dormir, et profitant de notre sommeil, il a sauté par la fenêtre pour aller s’écraser 50 étages plus bas. Vous comprenez maintenant ? Mon fils est mort, tout ça pour avoir voulu virevolter dans le ciel comme vous.
- Je ne savais pas… mais l’antimatière ? Quel est le rapport ?
- Lorsque sa mère le vît ; sans vie, elle mit fin à ses jours avec des barbituriques, et le gouvernement français m’exila ici ou je pourrais méditer et continuer mes recherches sur l’antimatière.
- Chose que vous avez faites si j’en crois ce que j’ai vu.
- En effet, et pour répondre à votre question, cette boule va me servir de monnaie d’échange. Vous sauvez mon fils, et par conséquent ma femme, et je sauve la planète.
- Je peux certes voyager dans le temps Professeur, seulement je ne peux pas intervenir sur son déroulement.
- Vous mentez !
- Non ! Je vous assure qu’il m’est impossible de modifier le cours de l’histoire humaine. Si jamais je le pouvais, je prendrais ce risque malgré les conséquences seulement je ne peux pas.
- Alors dans ce cas… dit-il en saisissant sa télécommande, adieu monde cruel.
- Non !... Attendez !… c’est… c’est d’accord ! Accordez-moi une petite minute et je vous emmène avec moi.
- Je savais que vous ne pourriez pas résister Ange Gardien des millions d’hommes, de femmes, d’enfants qui crient au secours…
- Donnez-moi avec précision la date le lieu et l’heure de la mort de votre fils je vous prie.
- Le 17 mai dernier à 22h30 devant l’hôtel Plazza à New York.
- Très bien. Tenez vous à mon cou, et surtout ne me lâchez sous aucun prétexte !
- J’ai compris. »
Télépathiquement Dylan dit à Phoenix : Prépare la phase de transport en mode spatio-temporel.
- Tu ne vas pas faire ce qu’il te dit ?
- Je n’ai pas le choix ! Il condamne la Terre !
- Tu ne pourras pas sauver les siens !
- Phoenix obéit je te prie.
- Phase de transport spatio-temporel effective. »

Une lueur rosâtre enveloppa le professeur et notre ami et ils disparurent comme par magie.

Ils se matérialisèrent dans le ciel juste au moment ou le jeune garçon sautait de sa fenêtre.

« Vite c’est lui ! C’est mon fils ! » Hurla le savant.

Malgré la vitesse avec laquelle notre ami se déplaça il traversa le corps du jeune garçon de part en part sans que celui-ci ne s’en rende compte.

« Mais que ce passe t’il ? Pourquoi ?
- J’ai tenté de vous prévenir Professeur, physiquement nous n’existons pas à ce moment. C’est un des paradoxes du voyage dans le temps. Voilà pourquoi je me suis évertué à vous dire que c’était inutile et impossible. Vous comprenez maintenant ? Je pourrais refaire l’essai à l’infini, je ne changerais rien au passé… Je suis navré.
- Partons, je vous en supplie, je ne supporterais pas de voir la suite une fois de plus.
- Je vais d’abord vous montrer autre chose… »

Notre ami enveloppa le savant dans sa cape et fonça vers la Russie ou son double se trouvait en compagnie d’Aigle Noir : « Voilà pourquoi je n’ai pas pu sauver votre fils Professeur ! »

De retour à notre époque, une mauvaise surprise attendait le Professeur et L’Ange Gardien, en effet, la machine de contrôle orbital du module avait implosé. Après une vérification à la super vision, il s’avéra que l’antimatière avait déjà commencé à se dilater…

Le savant tomba à genoux et implora la clémence pour son acte, mais Angel Guardian était déjà parti pour agir.

« Une telle inconscience… ce que ces humains peuvent êtres primitifs… constata Phoenix.
- Je te signale que je suis aussi un humain mon ami !
- Certes, j’ai parfois tendance à oublier ce détail…
- Bien ce ne sont malheureusement pas tes beaux discours qui vont sauver ma planète… As-tu tenté de contacter Julien de nouveau ?
- Oui, seulement toujours sans succès.
- Alors on va se débrouiller sans lui. Tu as une idée ?
- Pas la moindre… et dire que si tu m’avais écouté, tu lui aurais pris cette commande des mains à super vitesse plutôt que de partir faire du tourisme dans le temps ! Tu es comme la galaxie, tu voyages dans les années seulement toi tu reviens …
- Quoi ? Qu’est-ce que tu as dit ?
- J’ai dit que si tu m’avais écouté…
- Non non, après ça…
- Que tu traversais les années comme la galaxie.
- Mais bien sur ! Tu es génial Phoenix.
- Je veux bien admettre cet état de fait seulement je ne vois pas pourquoi.
- Prépare le mode de transport spatio-temporel et fais vite s’il te plait.
- Oh non c’est pas vrai ? Encore ?
- Phoenix !!!
- Bon très bien ! Où va-t-on ?
- Dans l’avenir mon cher, tu va avancer de 10 siècles dans le futur, seulement tu emportes cette boule d’anti énergie avec nous.
- Evidemment ! Comment n’y ai-je pas songé moi-même ? Tu vas laisser cette antimatière se dilater mais dans le futur quand ta galaxie seras déjà loin. C’est ingénieux.
- Et souviens toi mon cher, que c’est sorti d’un cerveau primitif »

Phoenix s’exécuta et ils partirent emmenés la boule d’antimatière dans l’avenir. Ils revinrent ensuite sur l’île afin de détruire le matériel du savant.

Le soir venu, Dylan révisait ses leçons lorsque Phoenix l’interrompit : «
Pardonne-moi Dylan mais pendant mon rapport de transmission, je me suis aperçu d’un fait assez troublant…
- Je t’écoute…
- Lors du sauvetage du garçon du savant, mes capteurs furent brouillés par une énergie étrange.
- Que veux-tu dire ?
- Cet enfant n’était pas humain Dylan, c’était un androïde !
- Tu plaisantes ?
- Pas du tout ! Je crois que l’on a joué une farce assez macabre à notre pauvre professeur. »

Le lendemain, Angel Guardian se rendit à Paris ou il demanda audience au ministre de la Défense. Ce dernier le reçut, et écouta attentivement le jeune homme.

« Ce que vous me dîtes là est tout à fait stupéfiant Ange Gardien, le Professeur Gilbert a réussi ?
- En effet, mais son expérience à bien failli tourner au drame.
- Certes, et nous vous devons notre salut.
- Ceci étant, je ne suis pas venu pour ça Monsieur le Ministre…
- Ah bon ? Mais pourquoi alors ?
- Je voudrais savoir pourquoi les proches du Professeur ont étés remplacés par des clones robotisés ?
- Je ne sais pas où vous êtes allé chercher une histoire aussi folle mon jeune ami mais…
- Monsieur le Ministre ! Avec tout le respect que je vous dois, cet homme a été victime d’un jeu cruel et je compte bien découvrir pourquoi… Avec ou sans votre aide.
- Très bien ! Puisque vous insistez, je vais vous expliquer. Les recherches du Professeur Gilbert sur l’Antimatière sont capitales pour l’avenir de la France. Aussi nous surveillons son état de santé ainsi que celui de sa famille. Hors il y a tout juste un an, nous avons décelé une tumeur au cerveau non opérable vu sa taille chez le Professeur. Cette tumeur peut provoquer chez lui des déstabilisations psychologiques graves, et nous avons voulu protéger sa famille, à son insu.
Nous voulions profiter du jour de l’anniversaire de son fils et de son voyage à New York pour procédé à l’échange. Nos services secrets ont donc remplacés un chauffeur de poids lourd par un cascadeur professionnel, et ont saboté leur taxi afin que celui-ci tombe en panne au moment opportun. L’enfant devait être blessé, mais il ne serait pas mort. Votre intervention a été un véritable fiasco pour nous. Nous étions pris au dépourvu. Je ne sais pas comment vous avez su qu’il était en danger seulement lors de votre sauvetage, nous avons dû agir très vite et l’agent qui remplaçait le chauffeur de taxi passa au plan B. Il endormi toute la petite troupe, et procéda à l’échange. Grâce à un procédé top secret, nous les avons ranimés sans qu’ils se souviennent de quoi que ce soit et le tour était joué. Apollon III le robot qui tenait le rôle de Jean-Pierre à subit un choc électro magnétique intense dans une boutique de votre ville. Voilà pourquoi, la nuit venue nous avons décidé de le détruire. La suite vous la connaissez. Nous avons détruit le modèle Venus IV qui avait le rôle de Barbara et nous avons exilé le Professeur.
- Je comprends pourquoi l’enfant que j’ai sauvé était bien humain, et aussi pourquoi le Professeur n’as pas hésité à menacer la planète. Il devait être dans une de ces phases de démences.
- C’est la seule explication que j’ai Ange Gardien.
- Si je parvenais à guérir le savant…
- Nous lui rendrions sa vie de famille et nous nous ferions une joie de corriger le tir croyez
moi.
- Donnez moi deux jours et je vous recontacte, mes respects Monsieur le Ministre. »

Angel Guardian se rendit sur Elara et après en avoir référé à Graal, il s’avéra que les médecins extra terrestres étaient en mesure de sauver le Professeur. Celui-ci fut donc endormi et emmener sur le vaisseau où il fut débarrasser de sa tumeur et renvoyé sur son île.

Peu de temps après, accompagné de Barbara et de Jean-Pierre, Angel Guardian le rejoignit à sa résidence.

Les yeux embués de larmes, le savant dit à notre ami d’une voix qui trahissait son émotion : je ne sais ni pourquoi, ni comment Ange Gardien mais je vous dois tout … »

Notre ami s’envola sans un mot vers le soleil couchant en ayant réussi à réunir une famille que le destin avait séparé.


Dernière édition par ALLO DOCTEUR PC le Lun 5 Jan - 20:25, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 0:54

Mais où vas t'il chercher tout ça ! là , je suis à fond dedans cheers
au passage , je suis capable de dévorer un bouquin en quelques heures voir de le finir la nuit pour connaitre la fin , ma curiosité est piquée au vif là , lol , la suite , la suite bounce

bonne soirée
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 1)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:34

OK OK OK DAME CARO C REPARTIT POUR LE CHAPITRE 4 :

Le lendemain, Angel Guardian rejoignit Julien chez lui et se changea. Il lui narra sa mésaventure, et attendit ses commentaires.

« Je suis bluffé ! Réellement impressionné !
- Graal est du même avis ! Il vient de me félicité à l’instant par l’intermédiaire de Phoenix.
- Phoenix ? Qui est ce Phoenix ? dit Alexandra en entrant dans la pièce.
- Personne d’important ma chérie, Phoenix est en fait le nom de code de sa boite mail.
- Okay et Graal ? C’est son mot de passe ?
- Tout à fait intervint Dylan.
- Je n’ai pas entendu votre conversation à tout les deux mais je suis persuadée que vous me cachez quelque chose…
- Que va tu chercher voyons ? Tu sais mon ange, nous avons beaucoup de choses à voir avec Dylan et…
- Et je vous dérange ? J’ai compris je file. Tu restes dîner avec nous Dylan ? Je vais faire quelques emplettes.
- Si c’est toi qui cuisines je ne louperais ça pour rien au monde.
- Alors c’est conclu. A tout à l’heure les garçons. »

Nos deux héros se regardèrent et poussèrent un soupir de soulagement.
« En fait Julien, si je suis venu te voir ce n’est pas tout à fait pour avoir tes réactions à chaud sur mes interventions…
- Ah bon ? Alors vas y je t’écoute… que se passe t’il ?
- C’est ma bague…
- Eh bien quoi ta bague ? dit Julien impatient.
- On ne sait pas d’où elle vient, et malgré les extraordinaires pouvoirs qu’elle me donne je t’avoue avoir un peu peur.
- Peur ? Tu es dix plus fois plus puissant que moi et tu as peur ?
- Ils m’ont donné mes pouvoirs ils peuvent aussi me les reprendre.
- Certes, mais c’est peu probable…
- Mais tu avoues que c’est une possibilité ?
- Oui s’en est une. Comment as-tu eu ce bijou dis moi ?
- Allons à Boston je vais te montrer. »

Dylan et Julien se téléportèrent sur place.

« C’est ici que je t’ai trouvé dit Julien. Tu était totalement inconscient et Shirka t’à téléporter sur Elara.
- Le reste je le connais merci, seulement voilà, il s’avère que c’est ici près de cette poubelle que j’ai trouvé ma bague.
- Tu rigoles là ?
- Est-ce que j’en ai l’air ? Elle a attiré mon regard car il y a mes initiales gravées dessus, tu vois ? DB Dylan Brainstorm…
- En effet ! Je ne crois guère au hasard Dylan, je suis persuadé que cette chevalière t’était destinée.
- Julien -intervint Shirka- mes capteurs détectent une tentative de communication provenant d’Elara, d’après le signal, c’est quelqu’un du Conseil de Sécurité.
- Passe le moi Shirka !
- Aigle Noir, enfin ! J’arrive à vous contacter ! Je suis Zopos, président du Conseil de Sécurité d’Elara. Graal est sur Pulsar III et nos tentatives pour le contacter ont essuyé de cuisants échecs. Il vous faut venir tout de suite, nous traversons une crise grave.
- Dylan tu nous y emmènent s’il te plait ?
- Bien sur !
Un instant plus tard :
- Que se passe t’il Zopos ?
- L’Ordinateur Central est attaqué par une sorte de perturbation électromagnétique, et les défenses de notre vaisseau sont impuissantes face à un tel phénomène.
- Ordinateur Central est tu en ligne ?
- Liaison effective Aigle Noir. Que puis je pour vous ?
- Identification des interférences je te prie !
- Perturbation électromagnétique inconnue d’une amplitude extrêmement puissante.
- Je connais cette perturbation dit Shirka.
- C’est impossible Shirka intervint Zopos. Annule ceci de ta mémoire.
- Non attendez ! coupa notre ami, Shirka est plus qu’un simple ordinateur Zopos et je lui fais une entière confiance, de plus mon niveau de commandement est supérieur au vôtre, et moi seul peut donner un tel ordre.
- Pardonnez moi ! C’est la première fois que j’ai à géré une crise comme celle-ci et j’ai tendance à perdre rapidement mon….
- Sang froid ?
- Exactement ! Je suis désolé Shirka.
- D’après ma banque de données informatique cette interférence est de la même amplitude que l’énergie dégagé par Dylan lors de sa métamorphose continua l’ordinateur.
- Peux tu la localiser Ordinateur Central ?
- Navré Aigle Noir, toutes mes défenses sont annihilées, et mon scanner avec eux.
- Je ne comprends pas… renchérit Dylan.
- C’est pourtant simple, il y a fort à parier que les êtres qui t’ont donnés tes pouvoirs attaquent ce vaisseau.
- Justement ! C’est ça que je ne comprends pas. Leurs intentions avaient l’air pacifiques jusqu’ici ..
- En effet…
- Mais si c’est moi qu’ils veulent….
- Calme toi Dylan. Tu ne résoudras rien en t’énervant. Il nous faut faire preuve de sang froid et de lucidité. Je ne crois pas qu’ils ais parcouru des milliers d’années lumières pour nous détruire… Enfin j’espère…
- La peur te gagne toi aussi ?
- Je déteste l’avouer, mais oui, j’ai peur pour la Terre.
- Julien, je sais que tu ne me l’as pas demandé mais j’ai pris la peine d’analyser ce signal qui perturbe les défenses du vaisseau.
- Oui Shirka et ?...
- Et je peux le recevoir en clair… C’est un dialecte très ancien… ça ressemble à l’ancien langage intergalactique…
- Mais c’est impossible Shirka plus personne n’utilise cette langue depuis des centaines d’années.
-Pourtant Zopos je suis catégorique, et si vous m’en laissez le temps je pourrais même le traduire…
- Vas-y Shirka.
- Peuple d’Elara, nous utilisons ce système de basses fréquences pour communiquer avec vous…
- Ils savent qui nous sommes… se languit Zopos.
- Nous savons que vous risquez de prendre ceci pour une attaque mais c’est le seul moyen encore à notre disposition pour communiquer, voilà pourquoi nous utilisons l’ancien langage intergalactique. Nous prions pour que vous entendiez ce message. Aidez-nous s’il vous plait par pitié. Ne nous abandonnez pas…. Fin de transmission. Et le message se répète en boucle.
- Tu es certaine de ta traduction Shirka ?
- Je parle plus de dialecte que tous les interprètes de cette galaxie réunis Julien.
- D’accord excuse moi. Zopos ? Que fais t’on ?
- Nous devons rester en orbite autour de votre planète ce sont les ordres de Graal.
- Vous allez les laissez mourir ? Mais vous les avez entendus comme moi ! Ils sont en danger de perdre la vie !
- Sans un ordre direct du Grand Conseil je ne peux rien décider je suis navré.
- Vos communications sont coupées Zopos ! Oubliez votre Grand Conseil deux minutes et prenez une décision !
- Je suis désolé Aigle Noir !
- Graal ne permettrait pas une telle chose !
- Je ne suis pas Graal et je n’ai pas les pouvoirs de…
- Ah non pas vous ! Vous n’allez pas vous plaindre vous aussi…Des gens sont en danger de mort et nous devons les sauver.
- Et si c’était un piège ? Que ferions nous si leurs intentions n’étaient pas aussi pacifiques qu’il n’y paraît ? Je vous rappelle que ce vaisseau n’a plus aucune défense.
- Et moi je vous rappelle que vous avez à bord de ce même vaisseau deux des personnes les plus puissantes de cette galaxie.
- Mais ça serait de l’insubordination par rapport au Grand Président. Je risque l’équivalent de votre Cour Martiale.
- Très bien Zopos ! Alors laissez moi faire. Ordinateur Central ! Je prends le commandement de ce vaisseau.
- Vous ne pouvez pas Aigle Noir ! dit Zopos.
- Votre niveau de commandement égal celui de notre Grand Président et en son absence son commandement vous est automatiquement confié Aigle Noir, quels sont vos ordres ? demanda l’Ordinateur.
- Energie photonique au maximum. Dirige nous vers l’origine des perturbations qui trouble tes défenses.
- C’est de la folie Aigle Noir ! Je proteste énergiquement contre cet ordre ! Aboya Zopos.
- Calmez vous !!! Il a pris la bonne décision ! J’avoue que je ferais la même chose à sa place intervint alors une voix familière.
- Graal ! s’exclama Julien. Tu es là depuis longtemps ?
- Assez longtemps pour voir que tu te débrouilles à merveille sans moi mon garçon. Merci Zopos vous pouvez vous retirer.
- Grand Président, je vous…
- Je sais mon ami je sais. Je vous comprends. Mais à votre place, je cesserais de discuter les ordres de ce jeune garçon à l’avenir.
- Bien Grand Président dit Zopos en se retirant.
- Alors mon grand comment va tu ?
- Très bien Graal je te remercie.
- Je suis revenu dès que j’ai su. Quel est le problème ?
- Apparemment le peuple qui a donné ses pouvoirs à Dylan est en perdition quelque part dans le cosmos et appelle sur un système de fréquence inutilisé depuis des siècles, dans un langage tout aussi ancien. Ce phénomène perturbe l’Ordinateur Central et tout les systèmes de défenses de ton vaisseau sont hors service.
- Tu aurais dû faire critique littéraire dit Dylan tu as raté ta vocation !
- Très amusant, mais pour le moment il va falloir nous préparer à un éventuel accueil non pacifique. Et je ne me suis encore jamais battu dans l’espace, et encore moins contre des extra terrestres.
- Rien n’indique qu’ils soient hostile tu sais.
- Comme rien n’indique le contraire. Qui vivras verras. »

Après plusieurs minutes, un vaisseau en perdition fut en vue des Elariens et de nos amis.

« Ordinateur Central, balaye moi ce vaisseau et fouille le de fond en comble. Répertorie moi tout ce qui te semble suspect.
- Fouille programmée Grand Président.
- Très bien. Montre moi les différentes vue de ce navire sur l’écran principal je te prie. Et stoppe les réacteurs.
- Hum… Je n’aime pas ça dit Phoenix.
- Tu as détecté quelque chose ? demanda Dylan
- En effet, il y a plusieurs formes de vies sur ce vaisseau mais leurs constitutions semblent étranges. Ils ont une forme liquide.
- Tu te moques de nous ?
- Je ne suis pas programmé pour faire de l’humour mon cher. »

Dylan et Julien se téléportèrent sur le vaisseau étranger. Là, ils firent la connaissance de Dragor, le capitaine du vaisseau en perdition. Comme l’avais annoncé Phoenix, sa forme était liquide, et il n’avait rien de commun avec les terriens ou le peuple d’Elara. Il communiquait par télépathie, et par conséquent le fait qu’il n’avait pas de visage n’était pas gênant.

Aussitôt après leur découverte, les perturbations qui brouillaient les défenses du vaisseau de Graal cessèrent. Et, en remerciement, divers techniciens Elariens prêtèrent leurs concours pour la réparation du navire.

Pendant ce temps, Dylan s’entretint avec Dragor, devant Graal et Julien : «

- Je suppose que tu es Dylan Brainstorm pas vrai ?
- En effet ! C’est moi !
- Enchanté de te connaître enfin. Qui sont tes amis ?
- Je m’appelle Aigle Noir et voici Graal le…
- Grand Président d’Elara… je sais.
- Nous connaîtrions nous ? demanda Graal interloqué.
- Votre nom est connu dans toute la galaxie Grand Président. Je viens de la Constellation du Centaure, du système solaire de la Lune Noire. La planète Anguéran pour être exact.
- Mais ? Je ne connais aucun système solaire de ce nom, pas plus que votre planète.
- C’est tout à fait normal, puisqu’il appartient à une autre dimension. Une version de votre galaxie où tous les peuples vivent dans l’harmonie la plus parfaite.
- Je serais curieux de faire la connaissance de votre peuple Dragor…
- EXCUSEZ MOI intervint Dylan, mais je crois que j’ai la priorité en ce domaine.
- En effet mon garçon dit Graal je suis désolé.
- Alors dîtes moi Dragor… Pourquoi moi ?
- Parce que tu es….mon fils.
- Pardon ?
- Dans ma dimension je te le précise. Lorsque nous avons appris que les Elariens avaient leurs propre agent sur la Terre, nous avons décidé d’envoyer le nôtre. Comme je l’ai dit tout à l’heure,
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 2)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:36

mon peuple vis dans un monde ou la guerre et les maladies sont enrayées depuis des siècles. Notre technologie ne pouvant plus nous faire avancer nous avons décidé d’en faire profiter la Terre.
- C’est très généreux de votre part…
- Et je ne connais personne de mieux placé que mon fils pour remplir cette mission.
- J’ai une famille terrienne, je ne suis pas votre fils c’est impossible.
- Tu es un de ses descendants directs Dylan, mais tout ceci serait beaucoup trop long à t’expliquer. Et nous aurons tout le temps d’en reparler crois moi.
- Bien ! Si vous insistez…
- Notre vaisseau est tombé en panne près de cet univers, et nous avons été forcés de prendre contact avec votre peuple Graal, le seul à notre humble avis à avoir la technologie nécessaire à notre sauvetage, j’espère que cela ne vous gêne pas ?
- Pas le moins du monde capitaine Dragor. Dylan, Julien, mes enfants je crois que l’on vous attends sur la Terre.
- En effet, Graal tu as raison. Capitaine… dit Julien.
- Promettez moi de me recontacter Dragor ! demanda Dylan.
- C’est juré mon garçon. Nous avons encore tellement de choses à nous dire… »



De retour sur Terre, nos deux amis partirent en patrouille.

A leur retour, ils se séparèrent jusqu’à l’heure du dîner.

Pendant ce temps, à la sortie d’un hypermarché, Alexandra se hâtait de charger ses courses dans son véhicule.
« Je peux t’aider chérie ? dit une voix raillarde.
- Non merci répondit elle je me débrouillerais très bien toute seule.
- Personne ne t’accompagne mon ange ? Pourtant une poupée comme toi ne devrais pas se promener toute seule… les rues ne sont pas sûres de nos jours.
- Voilà pourquoi je prends ma voiture ! Maintenant si vous voulez bien m’excuser…
- Allez te sauves pas ma belle, dit le voyou en lui attrapant la main, je t’emmène en virée !
- Lâchez moi immédiatement explosa t’elle vous me faîtes mal !
- Je vais me faire pardonner ! Je ne vais te faire que du bien c’est promis !
- La demoiselle t’as demandé de la lâcher je crois ! Et je te conseille de lui obéir, et sur le champs ! Intervint Aigle Noir qui était derrière l’agresseur.
- C’est bon Aigle Noir ! Je ne veux pas d’histoire moi…
- File vite d’ici.
- Bien sur Aigle Noir » dit l’homme en faisant mine de partir.


Soudain il sortit un couteau papillon de son blouson de cuir noir et se jeta sur notre ami. La lame se brisa au contact de son corps invulnérable.
« Tu as eu tort de faire ça dit-il en le soulevant par le col.
- Pitié ! Ne me tuez pas ! Ne me faîtes pas de mal je vous en prie.
- Te tuer ? Quelle vilaine pensée…Je te préviens juste que la prochaine fois que je te croise par ici, je te ferais regretter pour toujours de t’attaquer aux honnêtes gens, tu as enregistré ?
- Oui oui c’est promis ! » Dit le délinquant en prenant ses jambes à son cou.




« Merci Aigle Noir !
- C’était un plaisir mademoiselle. Vous savez vous devriez éviter de sortir seule surtout dans ce quartier…
- Je sors d’habitude sans problème. De plus vous connaissez Julien, il n’est jamais à la maison. Et depuis que son américain de cousin est là c’est encore pire. Mais je ne vais pas l’enfermer non plus.
- Je pourrais peut être lui en toucher deux mots. Nous sommes très copains lui et moi comme vous le savez.
- Vous êtes gentil, mais je pense que je vais pouvoir me débrouiller seule. Par contre, avec tout ça je ne serais jamais rentré à temps pour le dîner.
- Montez dans votre voiture je vais vous déposer.
- Vous feriez ça ?
- Puisque je vous le dis !
- Vraiment vous êtes extraordinaire et pleins de ressources vous !
- Vous n’avez pas idée à quel point » répondit il dans un sourire.

Aigle Noir s’envola en soulevant la voiture avec lui dans les airs et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il déposa Alexandra devant le domicile de Julien.

« Vous accepterez peut être de dîner avec nous ? demanda t’elle.
- Non, je vous remercie comme vous vous en doutez je suis très occupé et…
- Un verre alors ? Acceptez je vous en prie ! je vous dois bien ça.
- Puisque vous insistez…répondit il gêné, pourquoi pas… »

Il contacta télépathiquement Shirka pour que cette dernière prévienne Dylan de ne pas faire de « gaffe » et il accompagna la jeune femme dans l’appartement.

« Regardez qui je ramène les garçons ! dit Alexandra en entrant.
- Aigle Noir ! ça c’est une surprise ! s’exclama Dylan visiblement déjà prévenu par Phoenix.
- Vous êtes ? interrogea notre ami.
- Brainstorm, Dylan Brainstorm. Je suis un cousin à Julien. Je vis à New York, mais à cause de mes études je fais de fréquents voyages en France.
- D’ailleurs interrompit Alexandra, il va falloir que tu m’explique un jour comment tu fais pour trouver des vols aussi vite.
- Enchanté dit notre ami. Julien n’est pas là ?
- Euh non… il est à…. la bibliothèque.
- Julien ? à la bibliothèque ? tu rigoles Dylan ?
- Non je t’assures, il devait vérifier un truc pour moi, et tu le connais quand il a une idée en tête… d’ailleurs je vais aller le rejoindre je me demandes pourquoi il est si long. A plus tard vous deux…
- Revenez vite. Aigle Noir n’a pas toute sa soirée.
- C’est promis » dit Dylan du fond du couloir.

Aigle Noir et Alexandra s’installèrent dans le salon avec un verre d’orangeade et discutèrent un peu :
« Alors dîtes moi… Comment Julien et vous êtes devenus si …complices ?
- Julien m’a aidé dans une enquête.
- Mon Julien à fais ça ?
- Oui ! il a démantelé tout un réseau de pirates informatique.
- Alors là ! si je m’attendais à ça.
- Il est très modeste. Et jamais il ne se vante de ce genre de choses.
- En effet, il ne me l’a jamais dit. Il reste d’ailleurs toujours très évasif lorsque j’évoque votre sujet.
- Ah oui ? Je crois comprendre pourquoi. Vous savez, j’ai beaucoup d’ennemis, et pas mal d’entre eux sont en liberté. Aussi Julien à t’il sûrement peur qu’en vous parlant de mes missions, il ne vous mettent en danger.
- Ça doit être ça. Mais dîtes moi Aigle Noir vous avez un prénom ou dois-je vous appelé Aigle ?...
- Bien tenté mademoiselle Martinez.
- Comment connaissez vous mon nom ?
- C’est Julien qui me l’a dit. On parle beaucoup de vous lui et moi.
- Tiens c’est drôle ça. Je ne pensais pas être parmi vos centres d’intérêts mais j’en suis flattée. »

Aigle Noir s’excusa et prétexta avoir des gens à secourir et s’envola par la fenêtre.

Une dizaine de minutes plus tard, Julien et Dylan franchissait le seuil de l’appartement.

« Tu l’as raté mon cœur ! je suis désolé. J’ai pourtant tout fait pour le retenir.
- J’espère bien que non dit notre ami faussement jaloux.
- Que tu es bête. Comment pourrais je draguer ton meilleur ami ? et un super héros en plus ? il doit avoir des milliers de filles à ses pieds.
- Mais il ne t’as pas toi mon amour répondit Julien en l’embrassant.
- Hum hum ! Si je vous dérange… dit Dylan.
- Ne fais pas ton idiot voyons. Allez à table ! renchérit Alexandra.

Plus tard, lorsque tout le monde fût couché, notre ami dit à sa compagne :
« Alex ? tu dors ?
- Hum ?... j’essaye oui pourquoi ?
- Je viens d’y penser à l’instant mais comment se fait il que tu ai ramené Aigle Noir à la maison ce soir ?
- Un drôle de type voulait m’emmener en virée avec lui à la sortie du magasin, et il est intervenu.
- C’est moi qui aurais dû être là ! Pas lui !
- Allons mon cœur tu ne pouvais pas savoir ce n’est pas de ta faute.
- Si il t’était arrivé quelque chose….jamais je ne me le serais pardonné !
- Oublie ça et dors Bichon ! Je vais bien regarde.
- Tu le trouves vraiment si beau que ça ?
- Mais qui donc ?
- Aigle Noir tiens ! Dylan m’a dit que vous aviez l’air de bien vous entendre tout les deux.
- Oh toi… tu va me faire une crise de jalousie je me trompe ?
- Tu fais erreur. Jamais je ne serais jaloux d’Aigle Noir mon ange je t’assure.
- Alors pourquoi me fais tu passer cet interrogatoire ?
- Parce que… j’ai peur.
- Peur ? Mon Dieu mais de quoi ?
- Ça va te sembler ridicule, et je sais d’avance que c’est ce que tu va me dire, seulement lorsque je me regarde dans un miroir, et que je me compare à Aigle Noir ou même à Dylan, je ne comprends vraiment pas ce que tu peux me trouver. Ils sont tellement plus beaux que moi.
- Chéri…tu es complètement idiot.
- Voilà, tu m’insultes mais tu ne me réponds pas.
- Ecoute moi bien, et une bonne fois pour toutes amour. Je t’aime comme tu es, et peut m’importe que tu sois grand petit gros ou maigre. Si je t’ai choisi c’est uniquement par amour, et si parfois je te donne quelques conseils surtout concernant ton poids c’est uniquement pour ta santé. Je t’aime et je ne veux pas te perdre.
- Tu es…..
- Chut dit elle en l’embrassant tendrement, tais toi et occupe plutôt ton temps à autre chose…
- Je ne vois pas… Tu as une idée ?
- J’en ai des tas » dit elle en l’enlaçant.

Après une nuit d’amour passionné, Julien se leva tout heureux et près à passer une nouvelle journée pleine de rebondissements.

Dylan était déjà parti en cours, et Alexandra à son travail. Seul, Julien décida de partir se promener un peu en ville. Il déjeuna et pris sa douche. Seulement au moment de partir il oublia de remettre Shirka à son poignet et sortit.

Il pris sa voiture, et explora la ville. Etant d’une humeur gaie, il fit même du shopping pour sa copine, et se retrouva enfin dans un bar afin de se désaltérer un peu. Là il commanda un coca et observa un peu se qui se passais autour de lui.

Il régnait une humeur bonne enfant lorsque un type mal rasé entra dans l’établissement. Il s’installa au bar et commanda un verre de bière blonde dans un langage très ordurier. Peu de temps après, une charmante jeune femme l’imita et commanda un lait fraise. Son attention ayant été attiré par le physique de la jeune femme, l’homme du bar lui dit :
« Viens plus près chérie… Il y a deux tabourets entre nous et j’ai l’impression que c’est tout un monde !
- Je vous remercie mais je suis très bien ici.
- Eh ! Je voulais juste être poli moi ! Tu prends un verre poupée ?
- J’en ai déjà un je vous remercie.
- Allons… Te fais pas prier. »

Sentant que le ton montait Julien partit dans les toilettes et dit :
« Je crois que l’on va avoir besoin d’Aigle Noir dans le coin ma petite Shirka…Shirka ?? dit il en réalisant son oubli. Tant pis ! J’y vais ! »

Plein de courage et de bonne volonté, Julien se dirigea vers l’agresseur, et s’installa entre lui et la jeune femme.
« Eh mec ! Tu as piqué ma place…
- Je ne crois pas que votre nom soit marqué dessus répondit notre ami.
- Ecoute ! Ta place est d’où tu viens gros lard !
- Je crois que vous avez besoin d’une petite leçon de politesse rétorqua Julien.
- Ah oui ? et c’est toi qui vas me la donner cette leçon ?
- Si vous … »
Notre ami n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il sentit son corps s’envoler contre un mur, et vis le type s’approcher de lui :
« Allez debout tarlouze ! on va s’amuser un peu !
- Arrêtez ou j’appelle la police dit le gérant du bar.
- Toi ta gueule le vieux ou je t’explose. J’ai un compte à régler avec ce minable. » Il mit deux coups de poings en plein visage à Julien qui se retrouva K.O. et perdit connaissance.
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 3)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:37

Lorsqu’il s’éveilla, il ne savait pas où il était. Un docteur finissait de panser ses plaies, et il avait la tête qui bourdonnait dans tous les sens.

Quelques minutes plus tard, une silhouette familière lui apparue. C’était la femme qu’il avait tenté de sauver dans le bar.

« Merci pour votre intervention. Mais vous n’auriez pas dû. C’était une véritable brute ce type. Mais votre courage est tout à fait hors du commun. Je vous remercie vraiment.
- C’est tout naturel, j’ai l’habitude de me faire démonter le portrait…
- Et en plus vous en riez ! vous êtes épatant !
- Il n’y a pourtant vraiment pas de quoi je vous assure.
- Vous rigolez ? Vous êtes le seul à être intervenu ! J’ai vraiment eu peur vous savez.
- Tout est fini maintenant, et je vais y aller dit il en tentant de se relever.
- Non, non non ! vous restez ici ! ordre du docteur !
- Je ne peux pas rester, je dois…
- Je sais vous devez retrouver Shirka !
- De quoi parlez vous ?
- Vous déliriez avec ça tout à l’heure. Vous vous preniez pour Aigle Noir. Et vous ne cessiez de parler d’une certaine Shirka.
- C’est vous qui êtes drôle maintenant.
- Je vais aller faire quelques courses, et je vous invite à déjeuner, ça marche ?
- Si vous me promettez de me laisser partir après, je ne suis pas contre.
- Bien ! Alors à tout à l’heure. »

Pendant ce temps, dans un centre universitaire de la ville :
« Dylan..
- Oui Phoenix ?
- Un appel de détresse de Shirka.
- Passe le moi… Oui Shirka ? Que se passe t’il ?
- Julien est avec toi ?
- Non pourquoi ? il y a un problème ?
- Il m’a oublié dans la salle de bains et je ne peux pas me déplacer sans lui.
- J’arrive ! Phoenix, mon vieux, en avant. »

Un instant plus tard :
« Peux tu le repéré Shirka ?
- Négatif pour le moment, mais si Phoenix veux bien m’aider…Je ressens ses vibrations, à nous deux nous devrions le localiser assez vite.
- Ça y est ! Je le tiens dit Phoenix, il est au 168 allée des mésanges, au 4ème étage porte 42.
- Alors pourquoi n’y sommes nous pas déjà mon cher Phoenix ?
- Ce que tu peux être pressé toi… »

A l’adresse indiquée, Dylan frappa à la porte :
« Qui est-ce ? dit Julien.
- C’est le grand méchant loup répondit Dylan en entrant, eh, mais dit moi c’est le grand luxe ici…Mais il t’est arrivé quoi ? un bulldozer t’a roulé dessus ?
- Une rixe dans un bar, rien de sérieux ! Répondit Julien.
- C’est pas ce que je dirais moi. Quand Alex va te voir dans cet état…
- Surtout pas ! Graal guériras ça sans problème.
- Tiens je t’ai ramené une amie dit il en lui tendant Shirka.
- Merci Dylan tu es super !
- Et dire que c’est toi qui es censé me surveiller…
- Cette époque est terminée mon vieux ! Allez sauves toi vite je ne vais plus être seul très longtemps.
- Mais à qui est cet appart ?
- Je t’expliquerais tout plus tard mais il faut vraiment que tu te sauves maintenant.
- Ok gros malin, je file mais tu me raconteras…
- C’est juré allez file !
- A plus dit Dylan en disparaissant.

Vingt minutes passèrent, et la demoiselle revint chez elle chargée de nourritures diverses pour son invité.

« Vous ne devriez pas vous donner tout ce mal mademoiselle je vous assure, c’était rien du tout.
- Vous me sauvez la vie et vous trouvez que ce n’est rien ?
- Je n’ai pas dit ça en ce sens…
- Alors taisez vous et laissez vous faire. Vous savez ça fait longtemps que je n’ai pas dorloté un homme.
- Je doute que ma copine apprécie…
- Ce n’est pas moi qui compte le lui dire rassurez vous.
- Peut être mais je ne suis pas ce genre d’homme désolé. Je ne lui cache quasiment rien.
- Nous avons tous notre jardin secret. Mais si nous apprenions d’abord à nous connaître qu’en dîtes vous ?
- Pourquoi pas ? Je m’appelle Julien, et vous ?
- Catherine. Enchanté Julien.
- Je dirais pour ma part charmé » dit il d’un sourire enjôleur.

Les deux jeunes gens, déjeunèrent dans un silence quasi-total, mais Catherine brisa le mur du silence au moment du dessert.

« On pourrait peut être se tutoyer non ?
- Bien sur, si tu y tiens !
- Voilà qui est beaucoup mieux !
- Mais dis moi : Que faisais tu toute seule dans ce bar ?
- Rien de spécial, mais je crois avoir trouvé ce que inconsciemment je cherchais dit elle en lui caressant la joue.
- Euh Catherine… Comme je te l’ai dit je…
- Je sais tu as une copine et tu lui es fidèle ! pardonne moi !
- N’en parlons plus ! il faut que je parte de toutes façons…
- Oh non ! Déjà ?
- J’en suis navré, mais il le faut. »

Ils se séparèrent malgré les supplications de Catherine, et Julien rentra chez lui rejoindre Alexandra et Dylan sans omettre de passer voir Graal afin de guérir ses blessures.
Sa copine étant très fatiguée, notre ami décida de la laisser se reposer seule pendant que officiellement Dylan et lui allaient au cinéma.

En fait, c’est en patrouille aux Etats-Unis que nos deux héros se rendaient, ce qui donna l’occasion à notre ami de tout raconté à Dylan.
Deux jours plus tard, Julien eut la surprise de recevoir la visite de Gwendoline juste après le départ de sa petite amie :

« Gwen ! Quelle bonne surprise !
- Moi aussi je suis contente de te voir Julien.
- Je t’offre un verre ?
- Un café suffiras je te remercie.
- C’est parti pour un café, alors dis moi… la vie parisienne ?
- Oublie ça tu veux ? J’ai fais une croix dessus et je viens de ré emménager ici.
- Mais pourquoi ça ?
- Tu connais l’expression un seul être vous manque…
- Et tout est dépeuplé, oui j’ai connu ça. Encore notre abruti de service…ou un beau gosse que je ne connais pas.
- Tu as tout faux ! Et tu le connais très bien.
- Ah oui ? Alors ne me fait pas languir dis moi qui c’est !
- Mais c’est toi voyons… s’exclama t’elle.
- Très drôle Gwen…
- Drôle ? J’ai peur de ne pas saisir…
- C’est un gag n’est-ce pas ?
- Pas du tout ! Je me suis rendue compte avec l’éloignement que tu me manquais atrocement Julien, alors je…suis revenue… Pour toi.
- Je… ne sais absolument pas quoi te dire… bredouilla t’il
- Dis moi que tu acceptes de faire un bout de chemin avec moi, ça seras déjà un bon début dit elle en se dirigeant vers le canapé.
- Gwen, ce n’est un secret pour personne que j’ai toujours été attiré par toi…
- Justement, maintenant que nous ne sommes plus au lycée…Elle s’interrompit en voyant la photo portrait d’Alexandra. Qui est cette fille ? Ta sœur ?
- J’allais t’en parler. Je te présente Alexandra, ma…copine.
- Copine ? Bien… je vois que je me suis conduite une nouvelle fois en ridicule…
- Non attends ; ne le prends pas comme ça dit il en la prenant dans ses bras, tu sais rien n’as été simple pour moi, et comme je voyais que tu ne t’intéressais pas à moi, je n’ai pas lutté contre l’amour lorsque je l’ai rencontrée. De plus tu étais partie et tu ne m’as donné aucune nouvelle.
- Pourquoi ne m’as-tu jamais rien dit à propos de tes sentiments ?
- Qu’est-ce que cela aurais changé Gwen ? il a fallu que tu partes presque six mois pour te rendre compte que tu les éprouvais toi aussi. Mon physique a toujours été un obstacle entre nous. Tu m’as fait clairement comprendre que je n’étais qu’un ami, alors je me suis résigné. Mais aujourd’hui, je suis amoureux d’Alexandra. C’est une fille formidable tu sais et, elle me rends heureux.
- Je comprends Julien, j’ai mis trop de temps à m’apercevoir de l’étendue de mes sentiments pour toi, et peut être même que je me trompe en te disant que je t’aime.
- Je te connais assez pour savoir que tu es sincère ma puce, mais tu sais, ça faisait une éternité que je n’avais pas aimé comme ça…
- Parlons d’autre chose tu veux ?
- Très bien. De quoi veux tu qu’on parle ?
- Et bien par exemple du changement radical dans la tenue de cet appartement.
- On va revenir encore sur Alexandra… C’est elle qui a choisi la déco.
- Je vois que je ne parviendrais pas à te faire changer de sujet, ni même d’avis.
- Je suis désolé Gwen.
- Ah non ! Ne t’excuse pas en plus ! C’est moi qui n’est rien compris lorsque je l’aurais dû. Je te laisse Julien, à bientôt ! » dit la jeune femme en quittant l’appartement.

Quelques heures plus tard, Julien s’absenta peu de temps avant le retour d’Alexandra.

Ereintée par la chaleur ambiante et sa matinée de travail bien remplie, elle décida de se délasser dans un bon bain.

Une fois installée dans la baignoire la jeune femme pris un livre qu’elle venait de s’offrir et commença à le lire…

Soudain, un bourdonnement étrange la fit sursauter et elle vit Dylan apparaître comme par magie devant elle. Surprise et apeurée elle hurla.
Dylan tenta de la rassurée et de la calmer mais en vain, il quitta la salle de bains complètement paniqué et attendit qu’elle sorte.

C’est une femme terrorisée qui sortit de la salle de bains en peignoir et à la vue de son regard hagard Dylan comprit qu’elle attendait des explications :

« Je n’ai rien vu si cela peut te rassurer commença t’il hésitant.
- Je met toujours une tonne de mousse dans mon bain, mais ça ne m’explique pas comment tu es entré…
- Je…..
- Vas y j’attends tes commentaires… Et ne compte pas me faire croire que ma porte était ouverte…
- Non, bien sur ! Seulement je ne sais pas quoi te dire.
- Commence par m’expliquer comment tu as fait pour apparaître de nulle part. Tu es un homme invisible ?
- Pas exactement….
- Alors qui es tu ?
- C’est moi Dylan le cousin de Julien… Tu ne me reconnais pas ?
- Cesse de me prendre pour une imbécile Dylan ! Si tu crois que je n’ai rien compris à votre petit manège à Julien et à toi c’est que tu te trompe lourdement et que tu juges que je suis la reine des idiotes.
- Laisse moi trois minutes s’il te plait et je t’explique tout tu veux bien ?
- Ok ça marche, je vais m’habiller et à mon retour tu as intérêt à parler Dylan ! »

Dylan informa par télépathie Julien sur ce qui s’était passé et ce dernier apparu près de lui dans les secondes qui suivirent…

« Tiens tiens… dit la jeune femme en sortant de sa chambre, tu as appelé des renforts Dylan ?
- Qu’entends tu par là mon cœur ? demanda Julien.
- Je ne sais comment mais je suis sur et certaine que tu connais déjà toute l’histoire Julien.
- Je crois que de toutes façons…
- Tu ne t’en sortiras pas avec un tour de passe-passe cette fois, il va falloir trouver autre chose Aigle Noir.
- Tu ne va pas recommencer…
- Et si mon raisonnement est logique, tu ne peux être qu’Angel Guardian Dylan… Je me trompe ? Vous ne pouvez plus le cacher ! Alors avouez le ! C’est vous le tandem de justice non ?
- En effet dit Julien, après ce qui vient de se passer, je crois que tu as le droit de savoir la vérité sur nos identités. Je suis Aigle Noir, et Dylan, n’est pas mon cousin, c’est en effet l’Ange Gardien.
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 4)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:38

- Je le savais ! Mais pourquoi me l’avoir caché amour ? Tu es un véritable héros, tu n’as pas as en avoir honte.
- Ce n’est pas le cas ! Tu te souviens de notre soirée au cinéma le mois dernier ?
- Bien sur mais quel rapport ?
- Si tout le monde savais qui je suis vraiment, nous n’aurions plus de moments comme celui là !
- Je comprends, mais pourquoi me l’avoir caché à moi, alors que je le sais depuis des mois…
je me demande encore comment tu as réussi ton coup à la cascade, mais je savais que c’était toi… alors pourquoi ?
- Pour ta propre sécurité mon ange.
- Je suis une grande fille d’accord ? Je n’ai pas besoin que tu me materne Julien ! Tu es mon copain pas mon père.
- Je suis désolé, mais… j’aime m’inquiéter pour toi.
- Tu crois que cela va pardonner tout les mensonges que tu m’as racontés ?
- Je l’espère en tout cas. Mais puisque tu sais, je dois te révéler le reste.
- J’en meurs d’envie, d’autant qu’il y a encore une foule de questions qui me reste sans réponse.
- Installons nous et pose les moi. Dylan, tu peux nous laisser s’il te plait ? Je vais finir ce que tu as commencé…
- Excuse moi Julien, j’ai été négligeant et…
- Tu n’as rien à te reprocher, tu ne lis pas dans l’avenir que je saches. De plus, je viens de voir Graal et Dragor souhaite te parler.
- Graal ? Dragor ? mais qu’est-ce que c’est que ce charabia ? demanda la jeune femme
- Je vais tout t’expliquer mon ange calme toi.
- Au revoir vous deux, et désolé pour mon entrée cavalière dans ton intimité Alex dit Dylan en disparaissant.
- Mais où est il passé demanda encore Alex.
- Tu es un monstre d’impatience toi….
- Il est vrai que la patience n’est pas une de mes qualités premières… Allez ne me fais pas languir plus longtemps Julien, je t’en prie.
- Très bien alors voilà : Lors d’une banale sortie en discothèque, je fût enlevé par des extra-terrestres qui m’offrirent tout mes dons.
- Très amusant Julien… Je croyais que tu me dirais la vérité… Tu ne me fais donc pas confiance ? C’est cruel d’agir comme tu le fais.
- Mais je te jure que c’est vrai ! C’est dingue ça ! Je suis pour la première fois de ma vie 100% honnête avec toi et tu ne crois rien à ce que je te raconte.
- Admet que c’est dur à avaler, des petits hommes verts qui te donnent tes pouvoirs, ben voyons…
- Ils ne sont pas verts tout d’abord, et ils sont loin d’être petits.
- Je vais te laisser une heure ou deux pour que tu me trouves une histoire plus plausible Julien, parce que je ne te crois pas.
- Attends ! Puisque tu ne me crois pas regarde dit il en se métamorphosant en Aigle Noir.
- Mon Dieu… C’est prodigieux ! Quel changement !
- Alors je te plait ?
- Le contraire serait étonnant… Je comprends maintenant pourquoi tu ne seras jamais jaloux d’Aigle Noir, puisque tu es Aigle Noir.
- Shirka, rends moi mes vêtements civils je te prie.
- Bien sur intervint l’ordinateur.
- Mais… Ton costume ? et cette voix ?
- Je te présente Shirka, ma partenaire.
- Une montre ? J’ai du mal à te suivre Julien, et cette voix c’était quoi ?
- Shirka est un ordinateur ultra perfectionné qui est chargé de veiller sur moi.
- Une machine ?
- Sachez mademoiselle que sous une apparence assez humble, je suis beaucoup plus perfectionnée qu’une vulgaire machine…
- Je crois que tu l’as vexée !
- C’est pas croyable ce truc je parle avec une montre…
- Shirka, coupa Julien est capable de penser, réagir, et anticiper toutes sortes de situations, voilà pourquoi elle m’est indispensable, de plus, au fil du temps, elle est devenue plus qu’une amie pour moi. Elle possède des renseignements jusqu’aux plus intimes sur chaque personne vivant sur cette planète.
- Même sur moi ?
- A toi de jouer chère équipière…
- Vous vous nommez Alexandra Martinez, êtes âgée de 23 ans et vous vivez avec Julien depuis 6 mois, 2 semaines et 4 jours. Mon analyse indique qu’après une enfance et une adolescence sans problème, vous avez poursuivie vos études jusqu’au baccalauréat littéraire que vous avez eu avec mention Très Bien. Votre première expérience amoureuse a été un véritable fiasco. Il se nommait Franck Moutonnard, avait 31 ans, et vous mettait la pression afin d’avoir une relation sexuelle, chose que vous refusiez instamment, voilà pourquoi il vous a quitté au bout de trois semaines pour votre meilleure amie à la vertu plus… accessible…
- Merci Shirka ça iras. Enregistre la voix d’Alex au registre B27 de ta mémoire centrale, niveau de commandement numéro deux point zéro.
- Ordre reçu. Traitement en cours.
- Elle va enregistrer toutes mes paroles ?
- Non, elle analyse le timbre de ta voix et y réponds lorsqu’elle le reconnaît.
- C’est fantastique !
- Enfin quelqu’un qui m’admire… Cela me touche merci.
- A ton service Shirka.
- Shirka prépare le mode de téléportation.
- Qu’est-ce que tu fait ?
- Je vais te prouver que le reste de mon histoire est vraie aussi et je vais te présenter à Graal, « l’homme » qui m’as donné mes pouvoirs.
- Je suis impatiente de le connaître.
- Shirka téléportation ! »

Quelques secondes plus tard, Alexandra et Julien étaient conduits à Graal qui rédigeait une nouvelle réforme :

« Bonjour mademoiselle… commença le Grand Président d’Elara.
- Bonjour… Graal c’est ça ?
- En effet, je vois que Julien vous à mise au courant de presque tout.
- Oui Graal, je suis désolé mais…
- Allons mon garçon, ce n’est rien. Ton identité n’est pas un secret d’Etat comme on dirait sur Terre.
- Alors tu ne m’en veux pas ?
- Pas du tout ! Ou à tu été chercher une idée pareille ? Il va juste falloir penser à protéger cette jeune personne maintenant.
- Je me chargerais de sa sécurité Graal tu peux me faire confiance.
- Oui, seulement tu n’est pas toujours là Julien, et tu ne peux pas te dédoubler que je saches.
- En effet… répondit notre ami songeur.
- Mais pourquoi tout le monde désire tant me protéger ? interrogea Alexandra sur la défensive, je suis tout à fait capable de me défendre toute seule !
- Mais bien sur ! Comment n’y ai-je pas songer plus tôt ? s’exclama Graal.
- Tu veux bien traduire ?
- Je t’expliquerais plus tard. Mademoiselle…
- Appelez moi Alex…
- Alex, très bien, installez vous dans ce fauteuil s’il vous plait.
- Voilà dit elle en s’exécutant.
- Je vais vous soumettre à un petit test si vous le voulez bien, rassurez vous cela n’est pas douloureux.
- En quoi est-ce que cela consiste ?
- En vous installant ici, l’Ordinateur Central de mon vaisseau spatial analyse vos pensées et fouille le fond de votre âme, mais pour cela j’ai besoin de votre approbation.
- Je ne comprends pas intervient Julien, que diable fais tu Graal ?
- Je tente de protéger ta petite amie, mais j’ai besoin de son concours pour ça.
- Explique toi clairement Graal s’il te plait.
- Oui, je ne comprends pas trop ce que vous me voulez renchérit Alex.
- Vous avez dit être capable de vous défendre seule mademoiselle ?
- C’est exact…
- J’aimerais juste vous en donner les moyens…
- Des pouvoirs ? Tu veux lui donner des pouvoirs ?
- C’était prévu Julien. Seul Dylan a interféré nos plans, mais le fait que tu ai une alliée sur la Terre est très important pour la suite de ta mission, sans parler de la nôtre. Tu ne sais pas encore tout mon jeune ami.
- C’est ce que je constate. Mais je pense que c’est à Alex de décider.
- Si vous me donnez un peu de temps pour comprendre ce qui arrive, je répondrais à tout ce que vous voudrez.
- Je t’explique : Lorsque Graal m’offrit mes pouvoirs, il m’expliquât que la mission de son peuple était d’aider les jeunes planètes comme la Terre à « grandir » avant que ses habitants ne s’autodétruisent. Je devais rétablir l’équilibre de la balance. Hors il y a quelques mois, j’ai découvert Dylan, dans une rue de Boston, et il était très mal en point, je l’ai amené ici, où on à découvert qu’un autre peuple extra-terrestre lui avait offert des dons. Graal lui à alors permis de contrôler sa grande puissance en lui apprenant à s’en servir. Il se propose de faire de toi mon alliée. Tu seras une sorte d’Aigle Noir au féminin.
- Je pourrais voler comme toi ?
- En autre chose oui.
- Mais c’est magnifique !
- Attention Alex, intervint Graal, un grand pouvoir implique de lourdes responsabilités.
- Et ce n’est pas toujours une partie de plaisir ajouta Julien
- J’en ai conscience mais avec Julien et Dylan comme professeur je ne risque pas de l’oublier.
- Je ne suis pas très commode comme professeur ma chérie…
- Olympus se chargeras de ça pour toi mon grand !
- Qui ça ?
- Olympus est le nom de l’OSRA dont ta petite amie va hériter.
- Je pensais être unique en mon genre grogna Shirka. Déjà qu’avec Phoenix je commençais à douter, mais cette fois c’est sûr.
- Tu es le modèle original Shirka répondit Graal.
- Toujours aussi grognon, n’est-ce pas Shirka ? demanda Dylan qui apparaissait avec Dragor.
- Je ne suis pas programmée pour répondre à la provocation puérile d’un jeune terrien sans cervelle aboya l’ordinateur.
- Allons intervint Julien, si nous terminions ce pourquoi nous sommes venus…
- Tu as raison mon garçon, Alex, laisse moi te présenter Dragor, il représente le peuple d’Anguéran, une planète lointaine qui se trouve dans une dimension parallèle à la tienne.
- Je nage en pleine bande dessinée souffla Alex. D’abord j’apprends que mon petit ami est un super héros, ensuite que celui qu’il fait passer pour son cousin en est un autre, et là je discute avec des extra-terrestres qui viennent de mondes parallèles…
- C’est vrai que ça fait beaucoup pour une seule journée avoua Graal.
- Il me faut juste un moment d’adaptation, je suis sur que tout va très bien se terminer. »

La jeune femme se détendit complètement avant d’être soumise au pouvoir de l’appareil extra-terrestre, capable de fouiller l’âme humaine. Ce dernier remplit son rôle à la perfection, et les résultats obtenus dépassèrent de loin l’espérance du groupe.

Graal lui remit alors un coffret, dans lequel se trouvait l’OSRA. Il avait l’aspect d’une adorable chaîne en argent massif relié à un médaillon représentant un taureau dans un cercle.

« Voici Olympus, dit Graal en tendant le bijou à notre héroïne, l’ordinateur interne de La Sphère De La Constellation Du Taureau, et au grand désarroi de Shirka, il a les mêmes possibilités qu’elle ; ainsi que Phoenix bien entendu.
- Et bien sur il parle se risqua Alex.
- En effet répondit Graal.
- Si on passait aux essayages de son costume ? interrogea Shirka
- Pourquoi pas ! Alex passe ta main devant La Sphère.
- Comme ça ? dit elle en s’exécutant. »

Deux superbes rayons rouges sortirent des yeux du Taureau et formèrent des tentacules qui enveloppèrent notre héroïne en passant par les sept couleurs de l’arc en ciel. Lorsqu’elle réapparut une demi seconde plus tard, elle était vêtue d’un costume noir et or,une cape, un masque et une ceinture.

« Chérie tu es….
- Sexy coupa Dylan.
- Met tes yeux ailleurs toi ! grogna Julien, tu es magnifique mon ange.
- Merci, je ne me trouve pas mal non plus renchérit la jeune femme.
- Pardonnez moi de vous arrachez à une affaire d’état les amoureux mais nous avons encore beaucoup de travail intervint Shirka.
- Nous t’écoutons Shirka.
- Un moment… dit Graal, je suis conscient que tu es la mieux placée pour énuméré ces pouvoirs à cette enfant, toutefois je préfèrerais que cette tâche revienne désormais à Olympus Shirka.
- A vos ordres Grand Président répondit Shirka visiblement blessée dans son amour propre. Olympus, à toi l’honneur.
- S’en est un en effet, je suis Olympus, troisième Ordinateur Sensitif à Réactions Autonomes, ou OSRA, doté du tout nouveau processeur XSF 225. Je suis chargé de prendre soin de vous mademoiselle et aussi de vous guidée dans vos choix et dans votre tâche.
- Je suis enchantée de faire ta connaissance Olympus.
- J’imaginais un accueil moins enthousiaste répondit l’ordinateur, je suis agréablement surpris car d’après ma banque de données, les terriens n’apprécient pas tellement les conseils et les directives d’autrui.
- Je suis certaine que nous nous entendrons à merveille…
- Nous le saurons très vite mademoiselle…
- A condition que tu cesse immédiatement de m’appeler comme ça et que tu utilise mon prénom.
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 5)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:39

- A tes ordres Alexandra.
- J’ai toujours rêvé qu’un homme me dise ça soupira t’elle.
- Sauf que ce n’est qu’un ordinateur remarqua Julien jaloux.
- Tu es infernal mon ange. Olympus, si nous passions à la suite ?
- J’allais te le proposer Alexandra… Tu es maintenant doté de différents pouvoirs qui ne seront actifs que lorsque tu porteras ce costume ; tu es désormais capable de :

_ Te téléporter sur la distance de ton choix.
_ Soulever ou stopper net un poids de 6000 tonnes.
_ Voler à 300 fois la vitesse du son.
_ Contrôler l’esprit humain et deviner ses pensées.
_ Générer et maîtriser les 4 éléments à savoir la terre, l’air, l’eau et le feu.
_ Tu seras totalement invulnérable sauf aux poisons et aux drogues terriennes, quelque soit leur présentations. En d’autres termes, qu’ils s’agissent de gaz ou de liquide tu en ressentiras les effets comme n’importe quel être humain. »

Ne sachant plus que dire, Alexandra resta songeuse pendant que Graal lui expliquait quelques derniers détails.

Après quoi, Julien et sa copine rentrèrent sur Terre, pendant que Dylan terminait de faire connaissance avec Dragor.

Le lendemain, notre ami eu comme un choc en lisant le journal local :

Une femme retrouvée morte dans une ruelle… Encore l’œuvre
de l’Assassin des Bas-fonds ?


La suite de l’article confirma le titre :

Catherine Lemane, 25 ans, a été retrouvée morte dans une ruelle à 600 mètres de son domicile. Cette jeune célibataire a trouvée la mort dans des circonstances encore inexpliquées. Le tueur en série surnommé « l’Assassin des Bas-fonds » est soupçonné par les Forces de l’Ordre.
Une photo d’identité lui indiqua qu’il s’agissait de la jeune femme qu’il avait sauvée récemment dans un bar.


Il tenta de contacter Dylan :
- Oui mon vieux que puis-je pour toi ?
- Tu pourrais venir s’il te plait ?
- Bien sur j’arrive ! »

Quelques secondes plus tard, Dylan regarda Julien qui apparemment était bien démoralisé, ce dernier lui tendit le journal et son esprit de déduction fit le reste :
« C’est cette fille avec qui tu étais il y a quelques jours n’est-ce pas ?
- En effet, c’est elle. Elle m’avais supplié de rester et…
- Arrête ! tu n’est pas responsable…
- Ah oui ? Alors qui l’est dis moi ?
- Celui qui l’as tuée Julien !
- Mais je l’ai condamné en la quittant. Elle se savait menacée et je l’ai abandonnée.
- Tu ne pouvais pas prévoir.
- Tu peux m’aider ?
- A coincer ce salaud ? Mais avec joie mon ami.
- Mais pour le moment il va falloir remettre ça à plus tard les amis car Graal souhaite vous parler » coupa Phoenix.
Nos deux héros se téléportèrent sur le vaisseau extra terrestre et furent rejoint immédiatement par Alexandra auprès de Graal dans la salle du Grand Conseil.
« Si je vous ai fais venir jusqu’ici, c’est pour vous faire part d’une fâcheuse nouvelle
- Oui Graal ? vas y nous t’écoutons… dit Julien.
- Je suis au courant pour la mort tragique de cette jeune terrienne, et j’en suis navré.
- Malheureusement ça ne lui rendras pas la vie.
- Quelle terrienne ? on parle de quoi là ? demanda Alex interloquée.
- Il y a quelques jours, j’ai sauvé une fille dans un bar, mais j’avais oublié Shirka chez moi. Inutile de te dire que je me suis pris une raclée d’enfer par son agresseur. Elle m’as emmenée chez elle ou un médecin m’as soigné superficiellement. J’ai passé un moment près d’elle, et je suis partie bien qu’elle a lourdement insisté pour que je ne la quitte pas.
- Bien sur, je n’étais pas au courant de cette histoire comme d’habitude…
- Il n’y a que très peu de chose que tu ignore maintenant mon cœur je t’assure.
- Vous vous expliquerez plus tard mes enfants si vous le voulez bien. Je voulais te dire Julien que cet incident n’aurait pas dû se produire puisque tu était sur Terre lorsque cela s’est produit.
- Explique toi Graal.
- Lorsque je t’ai renvoyé sur Terre avec Alexandra, l’Ordinateur Central qui gère le mode de téléportation de mon vaisseau spatial t’as accidentellement envoyé dans le futur, un futur très proche mais un futur quand même.
- Mais c’est fantastique s’exclama notre ami, il suffit de nous renvoyé à notre époque et j’arrêterais ce malade avant qu’il ne la tue, c’est très facile.
- Je ne crois pas que cela seras aussi simple intervint Dylan.
- Que veux tu dire ?
- D’après ce que je connais du temps et de son déroulement, si tu modifie le futur de quelques manières que ce soit, il t’est impossible de revenir à ton époque sans « corriger le tir ».
- C’est exactement ce que j’allais t’expliquer mon garçon.
- Mais toi tu pourrais le faire Dylan pas vrai ?
- Je ne peux que voyager dans le temps, je ne peux interféré son déroulement. La fragilité du continuum espace-temps est très infime, de plus, je risque, si je fais ça, de rester coincé dans l’avenir comme tu l’es en ce moment.
- Mais alors que faire ?
- Tu as deux solutions Julien indiqua Graal : Soit tu permet que ce meurtre ai lieu ce soir sans intervenir et je te renvoie dans le passé, soit tu trouves le criminel avant qu’il ne tue de nouveau dans le futur ou tu te trouve et rien de tout ceci n’auras lieu.
- Tu crois vraiment que j’ai le choix ? Il est évident que je veux la sauver.
- Le contraire m’eut étonné…
- Seulement si vraiment j’aurais été présent lorsqu’il l’agressa je ne vois pas en quoi le temps s’en trouve modifié si j’interviens…
- Réfléchi deux secondes Julien ! Si tu interviens ce soir c’est tout simplement parce que tu as lu le journal et que tu sais qu’elle va se faire agresser, c’est dans ce sens là que tu changerais le passé.
- Je dois tenter le coup Graal. Je t’en supplie renvoie moi dans le passé et je la sauverais. Il suffiras d’envoyer Dylan dans le futur pour voir si les choses ont changées ou non…
- Je ne peux pas faire courir un tel risque à la race humaine pour sauver une vie Julien je suis navré…
- Et pourtant il n’as pas tort du tout ! intervint la voix familière et télépathique de Dragor.
- Vous Capitaine Dragor ?
- Je suis désolé d’intervenir comme ça, seulement il est important qu’Aigle Noir appréhende cet Assassin des Bas-fonds.
- Et pourquoi je vous prie ?
- Il s’est emparé d’un instrument qui lui permet d’interagir sur les super ordinateurs que nous utilisons vous et moi Graal.
- Mais comment ?
- Je vais vous expliquer : lors de notre tentative de connexion avec votre vaisseau, nous avons envoyés une sonde spatiale qui ressemble à un petit stylet. Il s’est perdu dans le cosmos, ce qui nous as forcé à utiliser la méthode que vous connaissez. Seulement depuis que nos instruments fonctionnent de nouveau, nous avons « pistés » notre sonde, et c’est cet homme qui l’as en sa possession. Il ignore bien sur comment il fonctionne mais il l’utilise sans le savoir. C’est ce qui explique le « bond temporel » de nos héros. Julien ne changeras pas le cours du temps puisque celui-ci est fabriqué de toute pièce par notre appareil.
- Très bien ! Merci Dragor !
- Oui renchérit Julien Merci beaucoup Capitaine ! Ordinateur Central, connecte toi sur les fichiers de la police, je veux tout les renseignements balistiques de la mort de Catherine.
- Je vous ai devancé Aigle Noir, et tout les renseignements que vous désirez sont déjà à votre disposition dans la banque de données de Shirka.
- Très bien, alors dans ce cas à toi l’ honneur Shirka !
- Catherine Lemane est décédée ce jour à 23h48mn. La cause de la mort à pu être identifiée grâce aux experts de la police scientifique, elle a d’abord été torturée, puis violée. La barbarie avec laquelle le meurtrier a opérée est hors du commun. Le problème, c’est que aucune trace d’ADN n’as pu être prélevé sur son corps.
- Tu crois qu’il avait mis un préservatif cet enfoiré ?
- C’est la seule explication possible Julien.
- Je te jure qu’il va payer cet ordure…
- Je t’interdis de te livrer à une vendetta personnelle Julien intervint Graal. Je te rappelle que tu n’est pas le seul à avoir des dons sur Terre et qu’il y a des gens qui sont là aussi pour t’aider. Tu ne dois pas te laisser emporter par tes émotions.
- Je suis désolé Graal. Je vais tenter de mieux me contrôler je te le promet. »

Nos amis retournèrent donc sur la Terre, mais dans le passé cette fois, avec donc 24 h de retard. Nos trois héros épluchèrent le dossier balistique mais ne trouvèrent aucun indice susceptible de leurs donner des informations sur le tueur.

Ils sursautèrent en entendant l’orage gronder au dessus de leurs têtes. Olympus dit alors au groupe : « Mes capteurs viennent de détecter un appel d’un avion en détresse dans la région de Reims.
- Mais on dirait que voilà ta première mission mon amour…
- En effet dit elle en se métamorphosant, vous m’accompagnez les garçons ?
- Sans hésiter répondirent ils en chœurs. »
Cependant dans l’avion en détresse le pilote tentait de joindre la terre : « Mayday, mayday… Ici vol 704 à tour de contrôle… Répondez tour de contrôle…
- Ici tour de contrôle à vous 704…
- Le réacteur 2 vient d’être foudroyé, nous perdons de l’altitude, nous descendons à 18000 pieds, 17000 pieds… Faites quelques chose tour de contrôle !
- Nous ouvrons la piste A9 ! Amorcez votre descente…
- Amorcer notre descente ? Mais vous rigolez ou quoi ? on descends en chute libre…
- Ou êtes vous 704 ? Vous n’êtes plus sur le radar !
- Nous allons nous écraser, je ne parviens pas à redresser l’appareil… Mais que se passe t’il ? On remonte ! »
Il se retourna et vis notre héroïne sous l’aile de l’avion à la place du réacteur.
« Je ne comprends pas ! Il y a une fille sous l’aile de l’avion…
- Vous avez perdu l’esprit 704 ?
- Mais non ! Je vous jure, elle vient de me faire signe de la main… »

Notre amie déposa l’appareil sur une piste libre, et dû se prêter aux questions des journalistes présents sur les lieux.
Angel Guardian et Aigle Noir était bien sur restés pour lui prêter main forte. Et leurs présence lui fût bien utile lorsque vint la question de son identité, à laquelle Aigle Noir répondit aussitôt : « Comme vous vous en doutez, il est hors de question que cette demoiselle vous révèle sa véritable identité, mais pour facilité votre travail, nous lui avons trouvé un pseudonyme : La Justicière Noire. Et pour vous donner un scoop c’est ma petite amie dit il plein de fierté.

Le soir venu, Julien conclut un pacte avec ces deux équipiers, il allait passer toute la soirée avec Catherine, et lorsqu’elle se ferait agresser, il suffirais qu’ils interviennent.

Malgré sa jalousie, Alex accepta.

Aussitôt dit, notre ami se rendit chez Catherine, seulement son appartement était désert. En attendant son retour il décida d’aller rendre une petite visite à son agresseur du bar. Il demanda à Shirka ses pouvoirs sans pour autant se métamorphoser et entra dans l’établissement. Il y retrouva Catherine, assise à une table, et l’homme qui l’avais précédemment agresser qui commençait à l’ennuyer.

« Allons chérie, laisse moi me mettre à ta table !
- Non j’attends quelqu’un !
- Et je suis arrivé intervint Julien.
- Julien ! toi ici ? mais que fais tu là ?
- Tu as oublié notre rendez vous ?
- Ah non pas encore cet avorton ! Je vais te faire bouffer le crépis moi !
- Des promesses toujours des promesses ricana Julien. »

L’homme se leva et lui envoya un direct au menton qu’il stoppa. Julien le souleva ensuite de toute sa hauteur et l’installa sur le comptoir. « Messieurs, chaud devant ! » s’exclama t’il en le faisant glisser en direction d’un jeu vidéo. Il donna de l’argent au barman pour le dédommager des dégâts et regarda Catherine estomaquée, encore sous le choc de ce qu’elle venait de voir.


Sur le chemin du retour, elle le pressa de questions : «

- Tu as mangé du lion ou quoi ?
- Non répondit il en souriant mais comme tu as pu le voir : poids et haltères.
- Très amusant ! mais il va falloir que tu me donne ta recette.
- Si tu veux mais avant tu me promet de ne plus aller seule dans ce bar ça marche ?
- Tu t’inquiètes pour moi Julien ?
- Je m’inquiètes toujours du sort de mes amies. »
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MessageSujet: chapitre 4 LA SPHERE DE LA CONSTELLATION DU TAUREAU (partie 6)   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:40

Dans l’appartement, ils burent un verre, et continuèrent leurs discussion lorsqu’ils furent brusquement interrompus par la sonnette de la porte.

Un homme entra, et Julien lut la peur se dessiner sur le visage de la jeune femme. «
- Décidément, tu as vraiment des goûts de chiotte ! c’est qui ce gros lard ?
- Joël, calme toi, c’est un ami. Julien.
- Il faut que je te parle ! Nous déranges pas minable ou je t’explose.
- Tu me paraît bien présomptueux toi répondit Julien, si tu comptais me faire peur tu as tout faux.
- Je vais aller voir ce qu’il veux Julien, ne fais rien je t’en prie.
- Très bien Catherine, je ne bougerais pas c’est promis.
- Bouger ? mais encore faudrait il que tu en soit capable gros porc ! aboya Joël
- Mesure tout de même tes paroles, je ne suis guère d’humeur à écouter tes insultes.
- Arrête j’ai les jetons bouffon ! Tu feras quoi contre ça ? dit il en se saisissant d’un couteau.
- Aurais je à faire à un trouillard ? ironisa notre ami. Tu as besoin de ça pour te défendre ?
- Mais je vais me le faire ce mec !
- Tu parles beaucoup mais tes actions se font attendre… se moqua notre héros.
- Tu a de la chance qu’elle soit là…
- Si tu veux te battre avec moi, viens dehors on trouveras sûrement un coin tranquille pour s’expliquer ! »
Joël ne répondit pas et alla dans la cuisine avec Catherine :
« C’est qui ce minable ? ton nouveau baltringue ?
- C’est un ami je te l’ai dit !
- Ouais un ami c’est ça !
- Tout d’abord ça ne te regarde pas nous ne sommes plus ensemble que je saches, alors cesse d’agresser mes amis ou fiche le camps d’ici !
- Comme tu voudras ma belle ! je vais partir mais avant je vais lui régler son compte à ton Don Juan.
- Non ne le touches pas ! Laisse le tranquille ! Julien sauves toi cria t’elle. »

Seulement Julien était toujours en train de siroter son verre, en ayant pris soin de redemander ses dons à Shirka.
« T’es gentil comme gars toi non ?
- Pas tellement répondit Julien hésitant.
- J’aime pas les mecs gentils, et tu sais pourquoi ? c’est des poules mouillées, des baltringues finit !...
- Je crois que tu as besoin d’une petite leçon de politesse mon biquet.
- Et c’est toi qui va me la donner peut être ?
- C’est probable en effet ! »
Joël se saisit de son couteau et tenta de blesser Julien, qui attrapa l’arme, et tel un as du judo souleva le jeune homme pour le propulser violemment contre un mur derrière lui.
Assommé sur le coup, Joël gisait à terre. Julien le porta jusqu’à l’ascenseur et referma la porte de Catherine à clé.
« Navré de cette démonstration de force… commença t’il.
- Ma parole tu t’es entraîné comme un fou ! J’ignorais que tu étais un adepte des sports de combat.
- Tu es loin de tout savoir de moi tu sais…
- Je m’en aperçois. Je suis heureuse que tu n’es rien. Ce type me fais une peur bleue.
- Qui est-ce ? demanda Julien.
- C’est mon ex petit ami.
- Pardon, je ne voulais pas entrer dans ta vie privée.
- Il n’en fait plus partie depuis trois ans mais il s’acharne. Tu lui a donné une excellente leçon je ne crois pas qu’il revienne de sitôt. »

Quelques heures plus tard, Catherine proposa à notre ami de partir en promenade avec elle, ce qu’il accepta. Il prévint télépathiquement ses amis qu’ils allaient devoir passer à l’action.

Durant toute la promenade, Catherine ne manqua pas de lui faire comprendre que la présence d’un homme lui manquait, et Julien promit de venir la voir aussi souvent que possible.

Au moment où l’Assassin des Bas-fonds allait se jeter sur elle, Angel Guardian et La Justicière Noire intervinrent afin de le stopper. En lui autant son masque, il découvrirent qu’il s’agissait depuis le début de Joël, l’amoureux éconduit. La stupeur de cette nouvelle bouleversa la jeune femme qui se jura de mieux trier ses fréquentations à l’avenir.

Après l’avoir raccompagné, Julien prit la voie des airs pour rejoindre ses amis et passa rendre son stylet à Dragor.

Joël fut inculpé des meurtres qu’il avait commis, et un examen psychiatrique approfondit fit apparaître chez lui une schizophrénie latente, accompagné d’une double personnalité. Il fut malgré tout jugé responsable de ses actes et condamné à la prison à vie incompressible, et sans remise de peine possible. Catherine fut entendue comme témoin, et la barbarie dont il avait fait usage sur ses autres victimes finirent de convaincre les jurés de la Cour d’Assise de l’enfermer à vie.
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MessageSujet: chapitre 5 : UNE TRISTE EXPERIENCE   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:42

Parce que vous adorez ça voici le chapitre suivant Smile

L’hiver arriva très vite, et nos trois amis ne cessaient de vivres de palpitantes aventures.

L’une d’entres elles, commença un matin ou Julien et Alexandra traînassaient dans leur lit :

- Il va quand même falloir penser à nous lever tu ne crois pas ?
- Je ne bougerais que si mon super héros favori me ramène des croissants bien chauds de Paris.
- Paris ? Pourquoi Paris ? les croissants de notre boulanger d’à côté sont les mêmes !
- Tu ne m’as pas comprise mon ange ! J’aimerais finir notre week-end à Paris.
- Nous sommes lundi matin ma chérie, mais je pense pouvoir arranger ça en quelques centièmes de secondes…
A ce moment la sonnette de la porte retentit.
- Oh non ! Ne réponds pas Amour.
- C’est peut être important !
- Si il y avait un quelconque danger nous aurions été prévenus non ?
- En effet ! Mais qui sais ? C’est peut être la police ?
- Ah oui ? La police ? et tu serais un dangereux psychopathe ? dit elle en l’enlaçant tendrement.
- Police ! Ouvrez !
- Julien ce n’est pas drôle !
- Je n’y suis pour rien ma puce je te jure. J’arrive ! » dit notre ami en se dirigeant vers la porte en pyjama. Il ouvrit la porte sur un homme d’une trentaine d’années accompagné de deux policiers en uniforme : «
- Monsieur ? Que puis-je faire pour vous ?
- Je suis l’inspecteur Sanfard, Police criminelle. Je peux vous poser quelques questions ?
- Euh des questions ? A quels propos je vous prie ?
- Puis-je entré Monsieur Pirolle ?
- Bien sur ! Pardonnez moi. Entrez je vous en prie.
- Merci messieurs, je rentrerais par mes propres moyens dit le policier à ses collègues en entrant dans l’appartement.
- Inspecteur, je n’ai rien à me reprocher mais pourrais je voir votre mandat de perquisition je vous prie ?
- Vous êtes un adepte des séries télé pas vrai ?
- Oui pourquoi ?
- Sachez Monsieur Pirolle qu’en France ce genre de mandat n’existe pas !
- Vous plaisantez ?
- Je n’en ai pas le cœur croyez moi ! mais je n’ai guère le temps de vous expliquer les différences entre notre système judiciaire et celui des américains, en fait, je suis venu vous parler officieusement d’une affaire qui me pose un problème. Sommes nous seuls ?
- Oui ! enfin non ! ma copine est encore couchée, mais vous pouvez parler sans crainte elle dort encore.
- Bien ! Depuis l’apparition d’Aigle Noir, notre satellite Atlas le repère dans pratiquement tout ses déplacements, et lorsque nous arrivons à le suivre, il apparaît clairement qu’il vient souvent chez vous.
- Est-ce un crime que de recevoir un super héros secrètement chez moi Inspecteur ?
- Non ! Nullement ! Rassurez vous, seulement il faudrait que je lui parle et vous êtes la seule personne capable de me dire comment le contacter.
- Je suis navré, mais vous faîtes erreur ! J’ignore comment ni même ou le joindre, ceci dit, si vous me laissez un message, je me ferais une joie de le lui transmettre.
- Dîtes lui simplement que je désires le voir Monsieur Pirolle, je ne peux rien vous dire de plus.
- Très bien, si je le vois je lui transmettrais. Au revoir Inspecteur. »

Quelques heures plus tard, l’inspecteur Sanfard, garait son véhicule dans le garage souterrain de son immeuble. Il en sortit et se dirigea vers l’ascenseur qui le mènerait à son logement : «

- Lève tes mains en l’air poulet ! dit soudain une voix derrière lui, et ne joue pas les héros !
- Que voulez-vous ? demanda le policier menaçant.
- Tu va le savoir très bientôt poulet, José débarrasse le de son artillerie et magne toi !
- Ok ! dit son complice qui jusque là était caché dans un coin sombre.
- Ecoutez, si c’est de l’argent que vous voulez….
- Ta gueule et écoute flicard il y a deux ans de ça lors de la grande attaque de la Banque de France, tu as descendu un type, tu t’en souviens ?
- En effet, j’étais en état de légitime défense et…
- Je t’ai dit de la boucler ! dit le malfrat en lui envoyant un direct au ventre. Ce crétin que tu as refroidit était mon petit frère, et dans la famille on pardonne pas ce genre de chose.
- On fais quoi Claude maintenant ?
- Je t’ai déjà dit de ne jamais prononcer mon nom abruti ! Il sait qui ont est maintenant !
- On va le buter de toutes façons donc c’est pas très important !
- Tu as raison, montons chez toi poulet on va faire une petite visite de ton appart… »

Quelques minutes plus tard, l’ascenseur ouvrit ses portes sur le palier de l’inspecteur de police qui priait pour que son épouse ne soit pas chez lui. Par chance, il fut exaucé.
« Tu laisse tes fenêtres ouvertes Poulet ? Tu devrais te méfier des voleurs ricana José.
- Boucle là toi ! lança son complice tu parle beaucoup trop à mon goût ! Maintenant flicard on va régler notre différent et là tes collègues ou ton pétard ne te sauveront pas tu peux me croire ! Une dernière volonté ou cigarette poulet ?
- Je ne fume pas… se languit le policier.
- Dommage ! Tu ne sais pas ce que tu perds… renchérit le malfaiteur.
- Il auras au moins la chance de ne pas attraper un cancer ! dit alors une voix derrière lui.
- Aigle Noir ! Ne bouge pas ou je…commença le malfrat. Plus vite que la pensée Aigle Noir se saisit de l’arme et du voyou qu’il souleva par le col.
- Ou tu quoi ? demanda t’il alors.
- Merci de votre intervention Aigle Noir, sans vous j’étais un homme mort.
- Toujours ravi d’aider la police Inspecteur Sanfard. Vous désiriez me voir si je ne m’abuse ?
- En effet, mais avant de vous entretenir de mon problème, …
- Vos collègues franchiront votre porte dans moins de trois minutes, je les ai avertis il y a un instant. »

En effet, peu de temps après les deux malfaiteurs étaient en état d’arrestation et nos deux défenseurs de la justice se retrouvaient seuls.

« Encore merci Aigle Noir ! Sincèrement !
- Inutile de vous perdre en remerciements Inspecteur et comme vous le diriez vous même venez en aux faits je vous prie, pourquoi désiriez vous me rencontrer ? Je doute que ça soit pour un autographe je me trompe ?
- Disons que ma fille et mon épouse seraient ravies d’avoir une photographie dédicacée de votre équipe mais en effet, ce n’est pas le but de votre visite. Il faut malgré tout que vous sachiez que rien ne vous oblige à vous occuper de ce dont je vais vous faire part. »



L’inspecteur Sanfard hésitait, il savait qu’il « jouait » avec sa carrière, en effet, la règle numéro un pour un policier est de ne jamais parler d’une affaire criminelle en cours avec un civil, seulement, Aigle Noir n’était pas un civil comme les autres, aussi décida t’il de prendre ce risque :
« Il y a de ça trois mois, j’étais dans mon bureau lorsque je fus appelé pour un homicide, sur place, le spectacle était terrifiant : un homme qui n’avait pas trente ans gisait sur sa banquette, avec une pioche enfoncée dans le crâne dans une mare de sang. En six ans de service, je n’avais jamais rien vu d’aussi horrible. J’ai pensé à un règlement de compte, seulement la semaine qui suivit on découvrit un autre meurtre, une femme cette fois, avec un pieu enfoncé dans le cœur.
- Je n’ai pas entendu parler de ces meurtres Inspecteur.
- Nous n’en avons pas informé la presse pour évité un mouvement de panique de la population, seulement il y a fort à parier que nous ne pourrons le caché encore bien longtemps.
- Je serais étonné du contraire, d’autant plus que c’est peut être ce que recherche notre meurtrier, la célébrité ou le besoin d’être reconnu.
- Bien raisonné Aigle Noir ! Seulement ce n’est pas tout, l’examen balistique des victimes a fait apparaître un curieux phénomène, les victimes sont toutes décédées d’une crise cardiaque, et nullement de leurs blessures aussi importantes soient elles.
- Inspecteur, je crains de ne pas vous être d’une grande aide, surtout si mon intervention doit demeurer secrète.
- Je ne comprends pas Aigle Noir…Vous refusez alors de m’aider si je vous suis bien.
- Pas du tout Inspecteur, vous faîtes fausse route je vous l’assure ! Je vais mettre mon équipe à contribution, seulement je dois vous informer que si notre accord demeureras secret, je ne puis en dire autant de votre affaire.
- Tout ce qui m’intéresse, c’est que vous acceptiez de m’aider. Voici le dossier complet sur les deux meurtres, les dossiers balistiques et toutes les informations dont pourras avoir besoin votre équipe.
- Pourrais-je être seul un instant je vous prie Inspecteur ?
- Je ne vois pas de raison de vous le refuser Aigle Noir, je serais à côté.
- Shirka, commença notre ami au départ de l’inspecteur, scannerise moi tous ces dossiers et fais vite s’il te plait
- Sans problème répondit l’ordinateur.
- Dis moi Shirka, peux tu demander à Alexandra et à Dylan de m’attendre à la maison je te prie ?
- Bien sur !
- Je te remercie. »

Notre ami rejoignit l’inspecteur de police et lui rendit son dossier en lui disant : « Je l’ai mémorisé, je pense pouvoir me débrouiller, à bientôt Inspecteur… ».

Prenant congé, il rejoignit ses amis chez lui et leur parla de l’affaire, tout en leur transmettant les dossiers de la police via leurs OSRA respectifs.



Quelques jours passèrent, et Julien ne progressait pas dans son enquête. Il se rendit chez sa copine qui le trouva abattu et vraiment très mal en point : « Que t’arrive t’il ? tu me semble bien préoccupé…
- Je n’avance pas, cette affaire de meurtres est insoluble, je n’y comprends absolument rien.
- On peux toujours comparé nos conclusions mon chéri.
- Tous les meurtres ont étés commis dans une pièce close…
- Et aucune marque d’effraction n’as été constatée. Ils ont tout deux pris une dose de somnifère avant d’être assassinés.
- Shirka m’as longuement parlée de la seconde victime, Romane Burton, elle n’avait que 28 ans. Morte d’un pieu dans le cœur, aucune trace de viol ni de vol, je ne comprendrais jamais toute cette violence gratuite.
- Dis moi, tu ne prendrais pas cette affaire trop à cœur toi ?
- Je le crains, mais j’ai peur de ne rien y pouvoir malheureusement.
- Il nous faudrait un indice, même minime…
- Je me suis tué à en chercher un, mais c’est peine perdu, ce type est un pro !
- Un homme ? tu crois vraiment que c’est un homme notre meurtrier ?
- D’après la force d’impact des coups portés aux victimes cela me semble indéniable intervint Shirka.
- La force physique produite par l’adrénaline est parfois surprenante Shirka, des femmes peuvent développer des capacités étonnantes.
- Alex à raison Shirka recherche dans les dossiers balistiques des preuves supplémentaires de ce que tu avance je te prie.
- A tes ordres Julien. Ceci dit, d’après ma banque de données informatique, absolument rien ne permet d’avancer la moindre hypothèse, et ceci en dépit du fait que je sois sur et certaine de mon propre raisonnement. Ce qui reste inexplicable c’est cette histoire de crise cardiaque. Comment une personne avec une pioche dans le crâne peut elle mourir d’une crise cardiaque ? Je maintiens pourtant que mon analyse est parfaite.
- Le contraire m’eut étonné de ta part Shirka. Mais il nous faudra plus que des intuitions et des présomptions pour coincer ce taré. »

Pendant ce temps, à presque cinq kilomètres au sud de la ville, une troisième victime venaient d’être découverte…
Après l’examen balistique, Olympus fit une étrange découverte qu’il communiqua immédiatement à nos amis : « Toutes les victimes avaient le cervelet hypertrophié. Renseignant pris auprès du médecin légiste, ceci se produit lorsque la mort apparaît brutalement après une hyper activité cérébrale.
- Qu’essaie tu de nous dire Olympus ? Que les victimes faisaient des mots fléchés avant de mourir ?
- Ton sens de l’humour noir est parfaitement déplacé Dylan rétorqua l’ordinateur.
- Désolé… Je ne pensais pas à mal et…
- Stop ! je pense que ça suffit vous deux intervint Alexandra. Expose ta théorie Olympus.
- Le docteur Minour, qui a examiné les corps a avancé une hypothèse qui selon moi est fort probante…
- Et quelle est elle ?
- Il suppose que les victimes étaient toutes trois plongées dans un profond sommeil à l’heure de leur mort…
- Et alors ?
- Il semble en effet que le seul mouvement de défense que les victimes eurent avant leurs derniers souffle eut lieu en songe.
- Tu plaisante ? Tu insinue que les victimes sont mortes en rêvant ?
- Je ne l’insinue pas ! Je l’affirme !
- Mais c’est absolument impossible voyons ! personne ne voudras jamais croire ça !
- Et pourtant, c’est la pure vérité. D’après le médecin légiste, lorsque quelqu’un commet un meurtre, sa victime a toujours un soubresaut. Hors il n’y a qu’une seule et unique exception, le cas de « la mort douce » celle qui à lieu en dormant. J’ai ordonné une contre étude balistique aux


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MessageSujet: Re: Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir   Le roman du DOC : les aventures d'aigle noir Icon_minitimeSam 7 Juin - 2:43

différents chirurgiens d’Elara, et leurs verdicts est sans appel. Ils sont morts en dormant et en rêvant qui plus est. Ceci expliquerais cette crise cardiaque fulgurante.
- Mais comment est-ce possible Olympus ?
- Une drogue pourrait être à l’origine de tout ceci.
- Des armes ont étés retrouvées sur les corps des victimes ! Et aucune trace de barbiturique n’a été décelée ; hormis le somnifère bien sur ! Ton diagnostic est erroné Olympus ! aboya Dylan.
- Je me demande vraiment comment tu as pu gagné contre des millions de spermatozoïdes ! rétorqua Olympus.
- Non mais je rêve ! Il m’insulte en plus !
- Je vous en prie canalisa Julien, ces enfantillages ne nous mèneront nulle part !
- Tu as raison Julien, se risqua Phœnix, et je pense pouvoir apporter ma pierre à l’édifice de votre étude…
- Allons bon ! Alors si toi aussi tu t’y mets… » gémit Dylan.

Les trois amis écoutèrent attentivement l’ordinateur, et se séparèrent jusqu’au lendemain.

Alexandra apparut le lendemain matin en très grande forme auprès de Julien. Sur sa demande, notre ami organisa une rencontre entre son équipe et l’inspecteur de police Sanfard.

Deux heures plus tard, une horde de journalistes attendaient l’arrivée de nos héros. Ils furent cependant surpris d’apprendre qu’ils étaient déjà sur place en grande discussion avec un certain policier…

« Aigle Noir, j’aimerais vraiment savoir ce que signifie toute cette publicité, je vous avais demandé la plus grande discrétion, le procureur me harcèle depuis au moins une heure, et je ne vous parlerais même pas du divisionnaire…
- Inspecteur Sanfard, si vous me le permettez… j’aimerais vous expliquer ce que tout cela signifie, et j’aimerais aussi vous donner enfin la clé du mystère commença La Justicière Noire.
- Si vous n’étiez pas ce que vous êtes mademoiselle je vous trouverais bien présomptueuse rétorqua le policier.
- Après des examens balistiques approfondis, continua la jeune femme sans prêté attention à cette réflexion, il est apparu que le cervelet des victimes était hypertrophié. Ceci ne se produit que lorsque les victimes meurent d’une mort douce…
- Ce qui n’est pas le cas ici vous en conviendrez !
- Laissez moi vous faire changé d’avis Inspecteur ! Toutes les victimes sont décédées violemment je vous l’accorde seulement aucune d’entres elles n’as souffert, et ça je l’affirme, ainsi que les médecins légistes qui les ont auscultés.
- J’ai en effet lu dans les dossiers balistiques que les victimes n’eurent aucun soubresaut au moment de leur mort.
- Et c’est justement ce qui me permet de vous dire que votre meurtrier n’existe pas. Enfin pas réellement.
- Je ne suis pas du tout votre raisonnement, il échappe à toute logique.
- J’ai moi même eu beaucoup de mal à arriver à cette conclusion Inspecteur, seulement j’ai des preuves de ce que j’avance.
- Je serais curieux de les voir soupira Lucas Sanfard.
- Les trois victimes ont absorbés un puissant somnifère avant de mourir, et c’est ce détail qui va faire basculer notre affaire dans un tournant quelque peu « fantastique ». Il faut bien que vous compreniez Inspecteur, que lorsqu’une personne absorbe ce médicament, il plonge dans un profond sommeil en moins de quinze minutes. A ce moment précis, il peut se passer n’importe quoi auprès d’eux, absolument rien ne les réveilleras.
- Serais-ce un nouveau médicament ?
- Tout à fait ! Nos trois victimes étaient des « cobayes ».
- Je vous demande pardon ?
- Vous n’êtes pas sans savoir que la médecine teste ses médicaments sur des gens rémunéré pour ça…
- En effet !
- Eh bien nos trois victimes ont ça en commun. Ils testaient des nouveaux traitements pour le compte de la Pharmacs Industrie. Le « Trinox » est un neuroleptique extrêmement puissant destiné aux grands insomniaques. Seulement je crains que nous ayons découvert un de ces effets indésirables.
- Vous voulez dire qu’il est mortel ?
- Il ne saurait en être autrement. Il contient une nouvelle molécule, qui agit directement sur une partie encore inconnue de notre cerveau.
- Mais les armes retrouvées sur les corps des victimes ?
- Je serais surprise que vous les retrouviez Inspecteur…
- Elles sont enfermées dans un coffre impénétrable, en attente d’une expertise aux rayons Ultra Violet.
- Et moi je vous parie le contraire Inspecteur. Lorsque vous l’aurez constaté de vos yeux peut être dénierez vous m’écouter…
- Mademoiselle, je déteste ce genres de procédés mais je vais vous montrer que dans nos locaux, personne ne peut dérobé des armes dit il en décrochant son téléphone… : Ici Sanfard, vérifiez le contenu du casier 3 et rappelez moi immédiatement !
- Vous perdez votre temps Inspecteur ! Mais après tout c’est le vôtre…
- Ecoutez moi Inspecteur intervint l’Ange Gardien, je suis aussi sceptique que vous seulement je connais très bien mon équipière et je peux vous certifié que… » La sonnerie du téléphone retentit : « Ici Sanfard ! Quoi ? Vous êtes sur ? Très bien ! Je vous remercie. Il semblerais que vous ayez eu raison mademoiselle reprit le policier, et malgré que ce genre d’histoires ne me plaît guère, il me semble judicieux de vous laisser terminer votre exposé.
- Je voudrais insister sur l’importance de l’action de ce nouveau médicament sur la partie inconnue de notre cerveau. Vous savez sans doute que la science actuelle ne connaît qu’un minuscule pourcentage des possibilités de notre cerveau. Aussi, les créateurs du Trinox ne pouvaient en aucun cas prévoir ces effets « secondaires » meurtriers.
- Si je vous suis bien, ce médicament serait notre meurtrier ?
- En effet Inspecteur, le Trinox agit sur la connexion entre le cervelet et cette partie inconnue.
- Sans vouloir insister sur le sujet, que faîtes vous des armes ?
- Voici un examen balistique d’un laboratoire indépendant Inspecteur, remarquez je vous prie les notes du médecin légiste. Elles stipulent qu’une forte tension sur ce nerf de liaison favorise la matérialisation d’objet en tout genre.
- De la magie ? Vous insinuez que mes hommes et moi avons « imaginés » ces armes ?
- Non Inspecteur ! vous les avez bel et bien vu, seulement ils ne s’agissait que d’illusions, fort réelles je vous l’accordent, mais c’étaient bien des illusions bien qu’elles étaient tangibles et palpables.
- Il est vrai que cette théorie explique beaucoup de choses, notamment la crise cardiaque fatale. Mais pourquoi des armes différentes ?
- L’explication se trouve dans les dernières heures vécues par les victimes. La rétine de leurs yeux fut attirée par la vue d’un meurtre, sans doute à la télévision ou au cinéma. Un cauchemar basé sur cette image fixée explique la suite horrible que nous connaissons…
- Il va me falloir ce dossier balistique pour mes supérieurs, et je crois qu’une explication légèrement plus plausible pour la presse serait la bienvenue. Je doute que la population soit prête à savoir de telles choses. »

Le Trinox fut remis à l’étude, et ses créateurs furent mis au courant de ses incroyables pouvoirs sur le cerveau humain. Une version plus romancée, et plus plausible fut donnée à la presse, et nos trois amis purent reprendre leurs vies respectives en comptant parmi eux un allié des plus précieux, l’Inspecteur Lucas Sanfard.
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